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Synopsis
Gérard Barbier, vendeur de jeans, est renvoyé. Possesseur du baccalauréat, il décide de devenir instituteur suppléant. Nommé dans une école, il s'aperçoit vite que le métier d'instituteur n'est pas comme il l'imaginait...
Le Maitre d'école : Un hymne et un hommage un crayon de vois, au cahier de classe, au gomme, a la bonne ambiance de l’école et des années 80 avec les profs, le directeur, les syndicats, les enfants remplit de question et qui cahute aussi… Non vraiment, c’est le bon temps et la bonne ambiance. L’humour de ce film et simple et passe bien, une bonne petite critique de ce monde de l’école sans en faire de trop. C’est juste bien et on ...
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Chris46
417 abonnés
978 critiques
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3,5
Publiée le 24 mars 2016
" le maître d'école " comédie très sympathique . C'est l'histoire de Gérard Barbier ( Coluche ) un vendeur de jeans qui decide de changer de métier et de devenir instituteur . Il est alors engager comme instituteur supléant dans une école . Mais gerard Barbier est un débutant un peu maladroit qui ne connait pas grand chose au metier d'instituteur et qui va devoir gérer des gosses turbulents qui vont lui en faire voir de toutes les ...
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chrischambers86
8 959 abonnés
11 647 critiques
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4,0
Publiée le 16 novembre 2019
Peut-être le film le plus attachant de Claude Berri! Coluche en brave vendeur virè de son boulot dèbute une nouvelle carrière comme instituteur supplèant dans une ècole primaire! Un Coluche tout en tendresse, gènèreux, aimant et sensible derrière des situations drôles, pertinentes et souvent inoubliables! Très belle pêche sur la B.O et la chanson « Le Sampa » de Richard Gotainer fait parti de mes plus beaux souvenirs d'enfance en ...
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PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
288 abonnés
1 372 critiques
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4,0
Publiée le 26 mars 2016
L'éducation nationale sous sa facette la plus brute, idéalisée à l’extrême, était pour Claude Berri en 1981, une sorte d'amusement avec ses épreuves de force, où Coluche s'en donnait à cœur joie. Entouré de jeunes enfants, l'acteur dévoile son côté ludique et intentionné, fidèle à lui-même, avec son immense sympathie. Cette satire légère nous conditionne avec finesse dans les mouvements politiques de l'époque, avec les ...
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Le Maître d'école est librement inspiré de Mémoires d'un éducateur, roman de Jules Celma. Celui-ci officie d'ailleurs en tant que co-scénariste du long-métrage avec Claude Berri.
De la difficulté d'enseigner
Avec Le Maître d'école, Claude Berri a souhaité, sous le couvert de la comédie, démontrer à quel point le métier d'enseignant est difficile. Dans une interview accordée au magazine Première à la sortie du film, le cinéaste déclarait ainsi avoir voulu démontrer combien, pour un enseignant, "la frontière est fragile entre la liberté et la discipline". Néanmoins, il tenait avant tout, avec son long-métrage, à interpeller "les enfants et les adolesce
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La relation Claude Berri / Coluche
Le Maître d'école marque la seconde collaboration du cinéaste Claude Berri avec l'humoriste Coluche. En 1970, il l'avait fait débuter sur grand écran dans Le Pistonné puis l'avait retrouvé une troisième fois pour lui donner le rôle principal de Tchao Pantin, en 1983.
Film assez drôle dans lequel on voit un homme ridicule se battre avec ses élèves de manière humoristique 3/5http://lecinemaleplusmarqua...
PowerKing
L'éducation nationale sous sa facette la plus brute. Une atmosphère sympathique, bon enfant, orchestrée par le maitre Coluche. Si le message tant à être clair, cette vision de notre bonne vieille éducation nationale est partagée entre réalité et idéalisme. Par exemple, le recrutement des professeurs est bien plus sérieux à lors actuelle. Une approche politique avec les syndicats vient subtilement se glisser au milieu des dialogue, laissant une idée du contexte de l'époque (qui cela dit en passant, a peu changé de nos jours). Le maitre d'école de Claude Berri se décline comme une comédie très agréable et intemporelle. Du baume au cœur pour une soirée en somme. 3,5/5
toupekin
Un film très touchant et émouvant à voir et à revoir avec un coluche attachant..la BO nous fait bien replonger dans les années 80! à noter la très belle chanson d'alain souchon à la fin du film qui nous met la larme à l'œil...
dalanera
Je suis tombé dessus par hasard cet aprèm' et j'ai voulu me faire plaisir, y avait une paie que je l'avais pas revu, j'adorais ce film étant gosse. La claque. Pas par le film qui a (plutôt bien) vieilli, mais essayez de refaire le même aujourd'hui. Aie aie aie, toutes les associations de tout poils lui tomberait dessus à bras raccourci. 1981, on pouvait vraiment s'exprimer, 2013, tout est sous contrôle. Selon Claude Berri, à l'époque, "la frontière est fragile entre la liberté et la discipline", et il parlait là de la difficulté d'être prof. On peut aujourd'hui le paraphraser sur la possibilité d’exprimer son art librement sans tomber sous les fourches caudines des quotas. Content d'avoir eu 11 ans en 1981.