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Synopsis
En 1969, en Inde, à Gospeira, un village de prostituées perdu au milieu de nulle part, Rajani a promis à Natabar, un de ses anciens clients, de lui donner sa fille. Qu'un homme aussi important s'intéresse à Lati est une chance inespérée. Pour la mère, c'est l'espoir d'arrêter enfin la prostitution. Et pour la fille la promesse d'une vie meilleure. Mais cette dernière est prête à tout pour échapper à ce destin. Élève brillante, elle rêve de suivre son professeur à Calcutta pour y poursuivre ses études.
Nagen, le chauffeur de Natabar, recueille malgré lui un couple de personnes âgées abandonnées par leur famille. Il essaie en vain de leur trouver un hôpital.
Dans la maison, deux jeunes prostituées accueillent une nouvelle venue et l'aident à
franchir le pas de cette nouvelle vie.
Au même moment, le chat du village, que l'on croyait perdu à jamais, retrouve son
chemin.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
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409 abonnés
Lire ses 3 323 critiques
3,0
Publiée le 15 janvier 2011
" Chroniques Indiennes " mèle plusieurs destins et nous plonge dans le quotidien d'un village de prostituées... Pas le meilleur film Bollywoodien que j'ai vu jusqu'à présent ( car l'histoire n'est quand même pas d'une grande originalitée ), néanmoins j'ai visionner le tout avec un certain intêret grâce à l'excellente performance de l'ensemble du casting - mention spéciale a Samatas Das bien émouvante dans le rôle de Lati. Si le tout ...
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cyclo86
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13 abonnés
Lire ses 129 critiques
4,0
Publiée le 18 décembre 2013
Beau film un peu "choral" où s'entrecroisent plusieurs histoires autour du village bordel. Une petite touche d'idéalisme rend le réalisme de la situation moins cruel.
Outre son activité de metteur en scène, Buddhadeb Dasgupta est un écrivain et poète bengali reconnu dans le monde entier. Ses oeuvres sont même traduites dans plusieurs langues. A propos de cet éclectisme, il déclare : "J'ai besoin de tous ces moyens d'expression pour donner corps à mon imaginaire. (...) Le cinéma est sans doute le plus effrayant car c'est un art fini. C'est à dire qu'une fois que le film est mis en boîte, vous ne pouvez pas...
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Des comédiens professionnels et amateurs
Chroniques indiennes fait intervenir des acteurs professionnels, mais aussi un certain nombre d'amateurs. Un choix dicté bien sûr par des impératifs économiques, mais aussi par la volonté du réalisateur : "Un comédien non-professionnel à l'avantage (...) de ne pas être usé, de ne pas s'égarer dans un mécanisme d'interprétation." Si ce parti pris oblige Buddhadeb Dasgupta à travailler son film longtemps en amont, de sorte à bien connaîtr...
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De l'art de saisir l'imprévu
Le réalisateur Buddhadeb Dasgupta aime filmer les extérieurs en plan large. Non seulement, ces prises de vue induisent un sentiment de liberté, mais en plus, comme l'indique le réalisateur, "cela permettra que quelque chose puisse arriver face à la caméra que vous n'aurez pas nécessairement prévu. Cela peur provenir de la nature environnante, de l'arrière-plan ou des comédiens eux-même qui se sentent moins figés..." La nature est une ch...
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