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Synopsis
Interdit aux moins de 16 ans
Mettant en scène le libertinage à travers le temps, Walerian Borowczyk nous invite à explorer quatre contes. « La Marée » évoque l'initiation d'une jeune fille à l'art complexe de la fellation. Puis, « Thérèse philosophe » met en lumière Thérèse, une adolescente rebelle, alors que celle-ci est punie dans un débarras, cette dernière expérimente le plaisir solitaire avec une cucurbitacée. S'en suit avec « Ersebet Bathory », une histoire centrée sur la comtesse Bathory qui organise des orgies sadomasochistes. Et pour finir ce périple, dans « Lucrezia Borgia », on découvre une nouvelle forme de sexualité, les plaisirs incestueux d'une famille des plus originales.
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4,0
Publiée le 14 janvier 2016
Un film phare du cinéma « érotique » des années 70 . Ce genre fleurit en 1975 à la suite de la création du label film X . De ce fait il y eut une demande forte pour des films érotiques, pour exploitation dans le circuit classique ; dans la lignée du célèbre Emmanuelle. Il y eut alors une floraison de ces films.( il n’y avait pas encore internet et les films x en streaming gratuit) . « Contes Immoraux » est probablement l’un ...
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Dr. La Peloche
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1,0
Publiée le 19 novembre 2014
Un navet post-68tard qui tente de démontrer que la révolution sexuelle est le sommet de l'accomplissement humain puisque le désir et la perversion existe depuis tous temps et ans tous les milieux... Moui. J’appelle ça enfoncer les portes ouvertes. Mais pas n'importe lesquelles : celles de l'intimité. Oui, le désir et la perversion ont toujours existé sauf que les gens gardaient leur vie sexuelle pour eux. Rien de honteux à cela ...
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chrischambers86
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3,0
Publiée le 31 mai 2012
Les symboles sexuels, parfois subtilement cachès, se dècouvrent à l'èvidence, en d'autres occasions, comme dans ces "Contes immoraux" du polonais Walerian Borowczyk, un film qui s'engage en 1974 dans une voie nouvelle, celle de l'èrotisme où il mêle un certain Sade dans quatre histoires à la manière des contes libertins du XVIIIe siècle avec le phrasè unique d'un juvènile Fabrice Luchini! Un film, rèalisè il faut le souligner, avec ...
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-marc-
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2,5
Publiée le 8 février 2013
Le premier conte n'est pas vraiment immoral, juste coquin, fin, retors et très bien écrit: on dirait du Maupassant. Le second est beaucoup plus lourd et ne vise qu'à heurter les bigottes dans leur foi. le troisième serait mieux si on ignorait qu'il s'agit de la comtesse Bathory, car on comprend dès le début que l'érotisme va tourner à l'horreur: or l'horreur et l'érotisme me semblent incompatibles. Reste le dernier, sur les Borgia: on ...
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Un navet post-68tard qui tente de démontrer que la révolution sexuelle est le sommet de l'accomplissement humain puisque le désir et la perversion existe depuis tous temps et ans tous les milieux... Moui. J’appelle ça enfoncer les portes ouvertes. Mais pas n'importe lesquelles : celles de l'intimité. Oui, le désir et la perversion ont toujours existé sauf que les gens gardaient leur vie sexuelle pour eux. Rien de honteux à cela (quoique... tout dépend... ;) mais les ébats de tout un chacun relevés de la sphère privée.Bon, là, on est dans le gros déballage hippie donc on fait dans le scabreux et l'immoral avec 4 histoires pas inintéressantes mais traitées avec un manque de talent cinématographique certains. Borowczyk est un tâcheron dont la capacité à tenir une caméra n'est clairement pas à la hauteur de ses ambitions. On voit parfaitement où il veut en venir (les idées sont simples et il y a de quoi faire de belles images) mais à l'écran, c'est raté. Un problème inhérent à cet époque où tout un tas d'artistes/charlatans s'improvisaient cinéaste pour vomir sur cette bourgeoisie décadente à laquelle ils rêvaient d'appartenir. Ce qui donna une flopée de productions indigestes et ridicules que s'infligent encore, dans les cinémathèques où l'on organise des rétrospectives en grandes pompes, quelques rares amateurs éclairés (pour ne pas dire illuminés).Bref, la photographie est ignoble, les plans décousus et incapables de soulignés ou d'évoquer quoi que ce soit quand au mouvement, on en a rapidement le tournis. Les acteurs ne sont pas en reste puisqu'en dehors de Luchini, qui semble s'être perdu ici et qui par son monologue digne du "divin marquis" fait mirage en donnant envie de voir si, au moins, le texte peut sauver le reste, on les croirait sorti de productions pornographiques bas de gamme des années 80. On ne peut même pas se raccrocher aux branches du voyeurisme le plus vil puisque les scènes prétendument érotiques, plates et grossières, ne devaient déjà pas faire sauter beaucoup de braguettes en 1974...