Confirmé comme l'un des acteurs les plus doués et les plus populaires de sa génération avec le succès du Comte Monte-Cristo l'année dernière, Pierre Niney fait partie des comédiens français incontournables.
A 35 ans seulement, il a déjà su s'illustrer dans de nombreux registres et fédérer un large public. Particulièrement apprécié de la jeune génération (notamment grâce à ses rôles dans la série La Flamme, ses prestations vocales dans Vice Versa ou Toy Story 4 ou bien sa détonante participation à l'excellent Five), il a également collaboré avec de grands cinéastes et livré des interprétations profondes.

Un premier rôle à l'âge de 18 ans
On a ainsi pu le voir à l'affiche de Frantz (de François Ozon), dans le thriller Boîte Noire de Yann Gozlan, dans le poignant Sauver ou périr de Frédéric Tellier ou bien dans La Promesse de l'Aube, adapté du célèbre roman de Romain Gary.
Mais avant de connaître la notoriété et de se hisser sur le devant de la scène, c'est à l'âge de 18 ans (dans un film au titre très à propos) que le jeune Pierre Niney a foulé son tout premier plateau de cinéma. Même si on avait également pu le voir la même année dans le court métrage La consolation (aux côtés de Léa Seydoux), c'est donc à l'affiche de la comédie adolescente Nos 18 ans qu'il a fait ses premiers pas sur grand écran.

Le chemin du succès
Dans ce long métrage, remake d'un film italien dans la veine des Sous-Doués passent le bac, Pierre Niney incarnait Loïc, le petit frère de la protagoniste Clémence. Il partageait ainsi le premier générique de sa carrière avec Michel Blanc et Bernadette Lafont, qui incarnaient ses parents, ainsi qu'avec Arthur Dupont ou encore Julia Piaton.
Pierre Niney devra pourtant encore attendre quelques années avant d'atteindre le haut de l'affiche. Après plusieurs autres petits rôles dans des projets souvent prestigieux (L'Armée du Crime de Robert Guédigian ou bien Les Emotifs Anonymes, avec Benoît Poelvoorde et Isabelle Carré), il est véritablement remarqué par la profession en 2011 grâce à son premier rôle dans J'aime regarder les filles qui lui vaut une première nomination au César du meilleur espoir.
L'année suivante, en partageant l'affiche du road-movie Comme des frères avec François-Xavier Demaison et Nicolas Duvauchelle, il est définitivement lancé sur la route du succès.
(Re)découvrez la bande-annonce de "Comme des frères"...
