Avis sur Rasta Rockett

« Rasta Rockett  » comédie culte des années 90 . C'est l'histoire de Derice Bannock ( Léon ) un athlète jamaïcain qui rêve de participer aux jeux olympique . Le jour des sélection sur 100 mètres Derice qui court en tête tombe à cause de son poursuivant nommer Junior Bevil ( Rawle D. Lewis ) qui fait également tomber un troisième concurrent surnommer Yul Brunner ( Malik Yoba ) . Les trois athlètes sont alors éliminer des sélections et ne peuvent pas participer aux jeux olympique . Déçu de ne pas pouvoir participer aux jeux olympiques ils décident de participer aux jeux olympique dans une autre discipline le bobsleigh . Derice demande à Sanka ( Doug E. Doug ) son meilleur ami de se joindre à l'équipe . Il demande egalement a Irvin Blitzer ( John Candy ) un ancien champion américain de bobsleigh de les entraîner . Et l'entraînement ne sera pas facile pour cette bande de rasta jamaïcains qui n'a jamais pratiquer le bobsleigh de leur vie et que tout le monde donne perdant d'avance mais qui vont se battre comme des forcener pour prouver le contraire ...
«  Rasta Rockett  » est une excellente comédie des années 90 devenu culte qui connu un beau succès à sa sortie en 1994 ( plus de 2,5 millions d’entrées en France ) . Le scénario adapter d'une histoire vrai est géniale . Que c'est hilarant de voir ses 4 jamaïcains tenter de pratiquer un sport de glace complètement inconnu dans leur pays ensoleiller . Un beau film à la manière de « Rocky » , mais en plus drôle , ou l'on voit 4 gars tenter de réaliser leur rêve en participant aux jeux olympique . ils essayent de prouver au monde entier qu'ils ne sont pas des tocards et qu'ils on leur place dans la compétition en pouvant pratiquer un sport comme le bobsleigh même si ce n' est pas leur sport national .
Un film remplit d'humour grâce a des scénes drôle spoiler: ( l'entrainement hilarant avec le " bobsleigh " en Jamaïque , Sanka enfermer dans le frigo pour résister au froid , les rastas qui débarquent au Canada et qui se retrouvent frigorifier par le froid , la bagarre dans le bar ... )
et des répliques cultes hilarantes ( embrasse mon œuf , sanka t'es mort ? , balance man cadence man ... ) . Avec en prime quelques touche d'émotion nottament la scène finale assez émouvante spoiler: quand le bobsleigh se renverse et qu’ils décident de terminer tout de même la course en portant le bobsleigh sur leurs épaules en gagnant le respect du public qui les applaudissent pour leur performance et leurs détermination à être aller jusqu’au bout de leurs rêves même si ils n’ont pas remporter la compétition . Une très belle fin très touchante
. Le film est porter par un très bon casting avec entre autre les acteurs Léon , Rawle D. Lewis , Malik Yoba et Doug E. Doug qui sont tous excellent et hilarant dans le rôle de ses quatre jamaicains qui décide de se lancer dans le bobsleigh non sans mal . Ils seront entraîner par un américain incarner par l'excellent Jonh Candy qui va tout faire pour les mener au plus haut niveau .
Sans oublier l'excellente b.o du film bien fun qui colle à merveille à l’ambiance du film avec nottament la chanson culte de Jimmy Cleef . Un très bon film .

Une comédie entrainante, à l'idée originale et au scénario bien ficelé. L'humour fonctionne bien et les personnages sont attachants. Un film agréable et divertissant, qui respire la bonne humeur !

L’histoire de "Rasta rockett" vous paraît un peu trop dingue pour être vraie ? Oui et non… Il suffit de se pencher sur les équipes en lice pour les Jeux Olympiques d’hiver de Calgary en 1988, et vous constaterez qu’une équipe de bobsleigh jamaïcaine a vraiment existé. A la différence près que le film s’inspire librement des faits réels, reprenant toutefois quelques faits avérés. Comédie culte des années 90, "Rasta rockett" nous raconte l’histoire de quatre jamaïcains qui n’ont pas froid aux yeux, poussés comme jamais par l’envie irrépressible de participer aux Jeux Olympiques auxquels certains d'entre eux semblaient promis. Et comme la plupart des films basés vaguement sur la réalité, "Rasta rockett" n’est pas exempt de quelques défauts : le doublage français n’est pas toujours raccord avec les mouvements mandibulaires, les quatre garçons vedettes ne sont pas ou peu expérimentés et ça se voit (à l’exception de Doug E. Doug), l’arrogance des meilleurs athlètes de la discipline a été stigmatisée au point d’en faire un cliché (non seulement c’est un fait inventé de toute pièce mais c’est en plus contraire à l’esprit olympique), les moqueries ont été poussées à la caricature, les bons sentiments prennent le dessus sur la colère (séquence de la protestation contre la disqualification), les dialogues et gags sont parfois niais… mais qu’est-ce que c’est drôle !!! Quand les bonnes vieilles recettes de la comédie ont été associées à une équipe atypique, ça ne peut être qu’hilarant. D’autant plus qu’il n’est pas courant qu’on nous propose un film sur le bobsleigh, et que le public se montre très curieux de voir ce que donnent des jamaïcains dans un milieu auquel ils ne sont absolument pas habitués. La curiosité : c’est là qu’est le piège qui s’abat sur le spectateur, vous chopez la « Cooooool raaaastaaaa !!! » attitude ! Osez dire le contraire ! En fait, "Rasta rockett" est bon comme du bon pain à l’ancienne. Certes les jeunes acteurs sont relativement maladroits, mais qui ne le serait pas dans son premier rôle (ou presque) ou dans un sport qui n’existe pas dans son propre pays et qui n'a jamais été pratiqué ? La rigolade vient quand même très tôt, dès lors qu’on parle de glace à un jamaïcain ! Ben tiens ! La température sur l’île est comprise entre 21 et 33 degrés tout le long de l’année… alors question froid… il y a de quoi refroidir plus d’un jamaïcain ! Déjà c’est Doug E. Doug qui s’en sort le mieux point de vue interprétation. D’abord parce que c’est bien lui le plus expérimenté des quatre, mais parce que le rôle colle merveilleusement à son faciès de joyeux luron. C’est d’ailleurs par lui que la majeure partie des rires va être déclenchée. Son personnage va se retrouver associé un peu malgré lui à trois coéquipiers avec qui il n’a rien en commun (si on ne tient pas compte de l’amitié qui le lie à Derice). Taillé comme un fil de fer, lui est cool, doté d’un ego surdimensionné, bavard comme un moulin à paroles, et rasta jusqu’au bout de ses dreadlocks. Sous sa coupe plus ou moins en brosse, son pote Derice (Leon Robinson) a plus un physique à la Usain Bolt (en moins grand) sauf que, en dépit de ce qu’on veut nous faire croire, il n’a dans les faits ni la foulée ni la vitesse d’un grand champion. Malgré tout, il est en passe de se qualifier pour les prochains Jeux Olympiques d’été. Seulement le destin va en décider autrement, et sceller son destin avec Junior et Yul. Le plus petit de la bande, Junior (Rawle D. Lewis) est un gars timide, terriblement en manque de confiance (et d’assurance, cela va de soi). A l’inverse, Yul (Malik Yoba) a un physique qui en impose, il le sait et n’hésite pas à s’en servir pour jouer de son pouvoir d’intimidation accru par son crâne rasé à la Yul Brynner. Vous voyez un peu le tableau ? Oui, je sais : quand on les regarde séparément, on ne les imagine pas du tout ensemble pour une seule et même cause, même en connaissant leurs vœux les plus profonds tous différents les uns des autres. Alors pourquoi ne pas associer un cinquième personnage au physique et au caractère là aussi différent ? Eh bien oui, il faut bien un coach, et c’est dans les kilos en trop d’Irvin (John Candy) qu’on va le trouver. Et quand on regarde à nouveau le tableau, on est tous persuadés que rien ne va fonctionner. Et encore moins si nous devions avoir en face de nous de tels personnages réels, et c’est en partie là que les risées prennent leur sens. Bah il faut être honnête hein ! Vu ainsi, les gars n’ont aucune chance. Mais voilà : ça fonctionne. Et le spectateur va prendre rapidement en sympathie tous ces jeunes jamaïcains comme s'ils devenaient nos potes, ainsi que leur coach pourtant plus que l’ombre de l’immense champion qu’il a été. Mais très tôt la musique de Hans Zimmer et les fanfaronnades de Sanka opèrent. Et c’est ainsi qu’on se laisse embarquer dans cette comédie placée sous le signe de l’hilarité, faisant même oublier les faits tels qu’ils se sont réellement déroulés. Chez les spectateurs il est de coutume de critiquer un film (voire de l’éreinter) quand il ne respecte pas les faits tels qu'ils se sont déroulés. Mais là, par je ne sais quel miracle, on s’en fiche. Enfin si je sais : on se marre ! Les entraînements donnent matière à rire, et il n’y a qu’à voir les têtes quand le quatuor opère ses premières descentes sur son engin de fortune : impossible de ne pas éclater de rire quand on voit les vibrations secouer dans tous les sens la tête du pilote en gros plan pour mieux voir ses yeux exorbités. Non, franchement, il y a plein de petits gags et de petites répliques qui font tout le charme de cette comédie à la fois parfaitement imparfaite et imparfaitement parfaite, comme lorsqu’on voit les champions se faire octroyer leur engin de course aux airs de vieille bouteille de gaz. "Rasta rockett" est donc un divertissement idéal pour vous changer les idées. Dépêchez-vous avant que votre grand-père ne vous dise à vous aussi : « reprenez le boulot ! ». Ce à quoi vous ne manquerez pas de répondre « oui, man ». Alors pour mettre fin à cette fête d’1h45, quoi de mieux que de terminer par « I can see clearly now », un des plus célèbres titres de Jimmy Cliff ? Un classique de la comédie qu’il faut absolument posséder dans sa vidéothèque, tant il fait du bien, et qu’on aura plaisir à voir, revoir et rerevoir. Inaltérable.

Toute la planète se demande à quoi ça rime, tous ces mongoliens n'ayant pas mis 5 à ce film sublime ! Excellent, excellent, excellent ... bref excellent quoi !!! Que de bons moments et souvenirs...inlassable !

Une superbe comédie, indémodable, et tirée d'une histoire vraie qui plus est, on se marre du début à la fin en suivant les folles aventures de ce quatuor irrésistible de Jamaïcains tous plus attachants les uns que les autres ainsi que de leur mentor, sorte d'anti-héros en quête de rachat. Les gags sont excellents, l'histoire touchante et la bonne humeur des acteurs se propage jusque dans votre salon. Franchement on ne voit pas le temps passer et le final nous réserve un très beau moment d'émotion, point d'orgue de cette magnifique comédie sur la différence. Qu'il est plaisant de lire la fierté sur les visages de ces quatre garçons plein de courage qui vont au bout de leur rêve envers et contre tous, une belle leçon d'humanité dont on ne se lasse pas de la revoir. Culte.

L'histoire est prenante et on aime suivre cette équipe jamaïquaine a aller jusqu'au bout de leur périple. La sympathie des acteurs nous permet de passer un bon moment, de bons rires à certain moment.

Comédie culte pour toute une génération, Rasta Rockett mérite amplement ce statut. L'histoire est originale et sympa à suivre durant 1h30. C'est rafraichissant de suivre ces sportifs jamaïcains qui vont aller aux jeux olympiques d'hiver participer à l'épreuve de bobsleigh. Et la grande force de ce film vient de ses personnages qui sont cool et détendus. Il y a le cerveau Derice, le paresseux Sanka, le dur Yul et le timide Junior. Les quatre forment une superbe équipe avec plus ou moins d'affinités. Ils seront coaché par Irving Blitzer qui est un superbe entraineur. Tous ces personnages vont nous faire rire et aussi nous émouvoir car il y a de beaux moments dans cette comédie. En plus les dialogues sont géniaux avec des chansons et des expressions devenues cultes. A cela s'ajoute une réalisation particulièrement bonne et une b.o. qui sent bon le soleil. Et que dire de la jolie fin qui est une très grande réussite. Rasta Rockett réussi parfaitement à doser le bobsleigh et l'humour ce qui fait que même si ce sport peut en rebuter certains, ici personne ne s’ennuiera devant ce film que je ne peut que vous conseiller de voir et revoir tant c'est à chaque fois un plaisir.

Bonne comédie composée d'un casting convaincant.Le scénario est bien ficelé et l'humour est présent.Excellente idée d'avoir utilisé le bobsleigh,qui est un sport rarement mis sous les projecteurs.Tout comme utiliser la Jamaïque,pour représenter ce sport. A ce niveau,c'est une agréable surprise,sinon pour le reste du film,pas de surprises.
Ce film donne également quelques leçons de morale,tels que la fierté,l'honneur,la combativité et l'honnêteté notamment.

Un film extrêmement sympathique et positif. L histoire (vraie mais romancée ) d une bande de 4 jamaïcains qui souhaitent participer aux épreuves de Bobsleigh aux jeux Olympiques donne un message simple de croire en ses rêves, de volonté
et surtout est en accord avec le vieil adage de Pierre de Coubertin l essentiel est de participer. Le film réussi aussi à être très drôle surtout la partie de l entraînement.

Incroyable mais vraie, l'histoire de "Rasta Rockett" est inspirèe d'un fait rèel aux allures de fable: la participation incongrue aux jeux olympiques d'une èquipe jamaïcaine de bobsleigh! Produite par les Studios Disney, cette success story est animèe d'un humour bon enfant et de moments de franche rigolade mais diffuse surtout un message sur la dignitè, l'amitiè et la force de la volontè! L'èpopèe de ces quatre sportifs est passionnante de bout en bout parce qu'ils possèdent un rêve comme chacun d'entre nous et qu'ils doivent surmonter d'ènormes difficultès pour arriver à le rèaliser! C'est une histoire de foi en soi et de dèpassement! il faut voir ces joyeux drilles s'entraîner sur une pelouse de la Jamaïque dans des caisses en bois puis affronter le frimas canadien et dèvaler les pentes sur leur bobsleigh de fortune! Sportifs accomplis, ils allient dècontraction rasta et ènergie musclèe, emportant l'adhèsion et la complicitè des spectateurs tout comme l'èquipe authentique ètait devenue à l'èpoque la coqueluche de la presse! Pour raconter cette expèrience extraordinaire, le rèalisateur opte pour la comèdie farfelue au rythme trèpidant et à l'ènergie communicative! Irrèsistibles, ces quatre "rastas" nous entraînent dans leurs glissades sur des airs de reggae, avec pour armes leur pêche et leur sens du gag! Sous la houlette de Jon Turteltaub, film sportif rime avec èclats de rire où il rèunit une distribution èpatante jouant sur les contrastes entre les quatre kamikazes de la glace, contrastes devenant source de tensions, mais surtout de comique! Disparu depuis, le très populaire John Candy instille dans le rôle de l'entraîneur un juste èquilibre de drôlerie et d'èmotion! Quand l'hèmisphère nord rencontre l'hèmisphère sud, le regae de Jimmy Cliff (la superbe chanson "I can see clearly now") se chante à moins 35 degrès! Un petit chef d'oeuvre de cette èquipe de choc qui fait fondre la glace sous des cascades de rires...

Rasta rockett : Un film positif, joyeux et sympathique à regarder, vraiment cette comédie transpire la bonne humeur et l’optimiste de ce film est contagieux. Vraiment, une comédie pétillante et fraiche à voir, on passe vraiment un très bon moment en regardant cette aventure vrai de quatre Jamaïquain plein de rêve et de volonté de réussir qui vont se mettre au bobsleigh avec leur coach pour gagner Jeux Olympiques d'hiver. Une histoire divertissante et sympa a regardé car c’est une histoire inspiré de faite réel mais c’est surtout ponctué d’humour tout public car l’humour est « facile » car on rigole de bonne humeur, l’humour est pas lourd du tout, c’est ça que je veux dire : on rigole vraiment de bon cœur. Car les situations, les dialogues, les répliques sont vraiment savoureuses et drôle. Tous comme l’équipe des acteurs qui fonctionne à merveille. Ils sont tous très drôle et transmette leur bonne humeur aux public et ça c’est énorme : bravo a eux, belle équipe. Voila, une comédie distrayante et plaisante à regarder, ça fait plaisir de voir des comédies comme ça a l’humour qui rafraichisse. Vraiment bonne pioche cette comédie familiale, je comprends pourquoi elle est autant apprécier et culte car elle est vraiment génial. En tout cas, j’ai apprécié cette comédie que j’ai eu plaisir à regarder.

Gros coup de cœur pour cette comédie indémodable et irrésistible ; « Rasta rockett » raconte avec une bonne humeur communicative et un sens du rythme inné la participation improbable de la Jamaïque aux épreuves de bobsleigh des jeux olympiques d'hiver à Calgary. Les gags et les situations rocambolesques se succèdent sans temps mort sur un ton très « bon enfant » qui fait que les quatre héros deviennent instantanément nos nouveaux meilleurs amis. On passe 01h50 de franche rigolade devant ce film extrêmement attachant et dont l'histoire, en plus, semble tirée d'une histoire vraie (je n'ai pas vérifié). Je me dois également de parler des acteurs absolument irréprochables ; Leur interprétation liée à la qualité des dialogues font de cette comédie savoureuse un must du genre. Le fait que ce film date de 1994 n'est pas un handicape, il est inaltérable... Je l'ai vu, revu et re-revu toujours avec le même plaisir... Faites comme moi, l'été touche à sa fin, un peu de reggae ça peut pas faire de mal !

Aujourd'hui encore, "Rasta Rockett" continue de déchaîner les passions. Ce film est une pure merveille. Les acteurs sont fantastiques, on parvient facilement à s'identifier à chacun d'eux... C'est un point très fort. On passe du rire, à l'aspect moral... Bref, le dosage est parfaitement réussie. En ce qui concerne le scénario, il est simple, c'est vrai, mais il contient de nombreux rebondissements pertinents et parfaitement bien menés. Le spectateur adhère complètement à cet univers sans pour autant être fan des Jeux Olympiques (ou même du bobsleigh). Du grand art !

C'est peut-être le film le plus cliché que j'ai vu, ça aurait pu être Grand si ça avait été traité avec sérieux, mais Rasta Rockett emporte quand même beaucoup de sympathie avec lui, suffisamment pour compenser ses défauts. L'histoire est traitée avec humour, il y a ce qu'il faut de rebondissement, ça passe vite alors que pourtant le pitch de départ ne doit pas être bien long.
Et puis on finit par y croire à cette équipe, et on se prend d'affection pour elle, on a envie de déplacer des montagnes avec elle.
Le film arrive même à nous faire aimer le bobsleigh !

Rasta Rocket raconte l'histoire vraie d'une équipe de Bobsleigh participant aux jeux olympiques d'hiver venant... de Jamaïque !! Incroyable mais vrai. Et ce film regorge d'un humour et d'une fraicheur qui ravira les petits comme les grands.
Il reste évidemment plusieurs clichés de béni oui-oui mais le divertissement est bien présent.
Bref : Balance man... Cadence man... Trace la glace c’est le Cooooolllll Rasta !