Avis sur Five

Une très bonne surprise pour une première réalisation! Acteur jouant au naturel, paraissant à l'éran comme si il se connaissait depuis des années. Une histoire simple, banale avec un coté "djeunes". On passe un bon moment et le film est rythmé de péripétie, de situation comique... C'est bon esprit et on ne voit pas le temps passé une fois le film lancée. Des gags qui passent plus ou moins que d'autres. Comme dans chaque comédie ou l'on ne peut pas voir quant les gags font mouches et d'autres non. PEu importe, in passe une bonne soirée et on ressort de la avec le smile

« Five » aura mis un sacré temps à démarrer avant que l'humour commence enfin à fonctionner...
En effet, la première partie où le cinéaste Igor Gotesman campe sa troupe, est inutilement grasse et indigeste, tant le trait est forcé dans la description de chaque personnage et de tout ce qui les lie entre eux !
Dur, dur de se libérer de toutes ses blagues vaseuses, de tous ses gags qui font flop et de tous ses clichés qu'on se croit bon de devoir absolument enfiler sans oublier une certaine vulgarité !
Puis, de situation cocasse en situation encore plus folle, l'histoire, tel un véritable imbroglio de péripéties, de quiproquos et de plans foireux, va enfin donner libre cours à des moments drôles et plutôt critiques pour nos joyeux lurons de colocataires...
A ce jeu, Pierre Niney et François Civil se détachent du lot des éternels potes, mais il faut surtout bien préciser que pas mal de personnages secondaires bien typés font un effet bœuf, et que se trouver en face d'eux, provoque des instants hilarants !
Alors bon an, mal an, on passe de l'irritation la plus totale à une certaine bienveillance face à cette comédie devenant enfin un peu plus amusante, d'autant plus que heureusement c'est ici la deuxième partie qui restera en mémoire, même si l'ensemble a des bien chances d'être oublié malgré une bande de joyeux comédiens bien en forme !

Une comédie sur l'amitié avec un scénario original et très drôle, une bonne bande sonore, des dialogues enlevés et des situations loufoques qui s'enchaînent à un rythme qui ne faiblit jamais, et portés par une attachante bande de pote, Pierre Niney et François Civil en tête. Un film de pote qui avait pour objectif de divertir et c'est réussi !

Même avec Pierre Niney en tête d'affiche, on peut passer à côté d'un film. Five hésite sur la route à prendre, oscille entre vulgarité trop assumée qui tombe souvent à côté, tellement parfois que ça en devient gênant, et des petits moments plus réussis. Reste un film bancal, qui nous embarque finalement dans une histoire très convenue. Bof.

Cette comédie, écrite et réalisée par Igor Gotesman, possède bien des atouts : une bonne BO, une mise en scène efficace, un scénario enjoué nous délivrant une ambiance sympathique avec une grande palette d'émotions et un humour délirant. Ce film bénéficie également de dialogues justes et d'un casting de choix avec une excellente prestation de Pierre Niney, très en verve, bien entouré par une kyrielle de brillants acteurs : Margot Bancilhon, Lucie Boujenah, Michèle Moretti, Bruno Lochet …
Le pitch : Sam, Tim, Nes, Vad et Julia sont cinq amis d'enfance. Sam réalise enfin son vieux rêve et monte une colocation avec le team.

Découvrir un film de potes réalisé par un jeune réalisateur au potentiel certain était signe de bon augure. Pourtant Igor Gotesman, co-auteur de Casting(s) ou scénariste du Nouveau, ne réussit pas son examen d’entrée pour l’épreuve « premier film ». En se penchant sur une bande de cinq amis décidant de se mettre en collocation après des années de solide fraternité, le pitch était pourtant alléchant.

Si les blagues et les gags scatos qui jalonnent le récit peuvent être réussis et s’adapteraient très bien dans des petites saynètes sur YouTube, en faire un film d’1h40 comporte déjà moins d’intérêt. Car finalement, que nous dit réellement Five sur l’amitié ? Pas grand-chose, si ce n’est le désaveu total que nous avons à l’égard de cette bande de « potes ». Celle qui ne se dit ni ne partage rien. Celle qui passe son temps à se gueuler dessus sans pouvoir compter les uns sur les autres. Celle aveuglée par la couleur de l’argent et peu conscient de ce qui les entoure.

Déséquilibré, le film ne se penche que sur le cas Niney (certes très juste) en délaissant les quatre autres personnages, trop peu creusés. Five devient alors One et perd de son caractère choral, normalement essentiel au scénario. Là encore, la figure féminine est totalement délaissée. Aspect devenu tristement habituel dans ce genre cinématographique. Et quel visage de la jeunesse laisse Five ? Peu glorieux car je-m’en-foutiste et irresponsable. À l’image de ce scénario, s’enfonçant dans un délire peu crédible et loupant une chute surréaliste.

Histoire sans queue ni tête, qui suit les péripéties d'un bourgeois fils à papa, privé de son chèque familial hebdomadaire, et de sa bande de colocataires. La scène la plus drôle était dans le teaser, le reste fait parfois sourire, mais tombe à plat la plupart du temps. On reste dans le grotesque, lourd et caricatural à souhait, sans aucune crédibilté. La scène la plus énorme revient à un des colocs, qui après avoir mangé un kébab bizarre et trop épicé, a un terrible mal au ventre, mais réussit à nous sortir un étron parfait !

Les acteurs sont plutôt très bons, Pierre Niney est toujours aussi extraordinaire. Mais finalement, on s'en sort pas la magouille et le traffic de drogue, ça m'a un peu fait grincer des dents. J'ai trouvé beaucoup de propos très gênants d'autres à ras le slip.

Autant le dire de suite, je n'i pas trouvé ce film mauvais, je l'ai trouvé très mauvais !
Tout est mauvais dans ce film !
Le scénario d'abord, qui ne tient pas la route, tant il est truffé d'incohérences : des jeunes qui ne connaissent rien au monde de la drogue qui s'improvisent dealers, qui ne foutent rien de leur journée tout en vivant dans un appartement de luxe et j'en passe.
Les dialogues ensuite : qu'est-ce que c'est que ces dialogues nuls qui combinent des anglicismes à tout va à du pseudo-vocabulaire de jeune ? J'e n'ai pas compté le nombre de "mec", de "poto" ou de "putain" dont ils sont truffés ! On se serait cru dans un film américain avec des "fuck" à la pelle ! Aussi énervant !
Le jeu des acteurs ensuite : caricature sur caricature ! Certains parviennent à être convaincants, mais si peu de temps qu'on finit par retomber dans son siège de dépit ! Même Pierre Niney, au demeurant excellent dans les précédents rôles qu'il a joués, il surjoue là ! C'en devient pénible !! Quand son père, dans le film, lui colle une gifle, je n'avais qu'une envie : faire la même chose ! Tellement il était agaçant ! Même le chien donne l'impression de mal jouer !
Il est d’ailleurs surprenant de constater que le personnage de son père est quasiment décrié à la fin du film, alors qu'il est l'un des plus réalistes !
L'approche de ce film doit sans doute être une question générationnelle : j'ai vraiment trouvé ces jeunes infects, nuisibles et pour tout dire dangereux, car donnant l'impression aux autres jeunes qui vont aller voir ce film que la vie c'est ça ! Or, c'est tout sauf ça !
Et c'est sans doute le plus gros écueil de ce film : il ne reflète en rien une quelconque réalité et, de ce fait, il n'est pas crédible !
Ou alors, il aurait fallu verser carrément dans le burlesque ! Seulement voilà, comme j'ai déjà eu l'occasion de le dire, pour faire du burlesque, du bon burlesque, il faut avoir le talent pour ! Or, n'est pas Chaplin ou de Funès qui veut !
Et force est de constater que le réalisateur de ce film - tout comme Marilou Berry pour "Joséphine s'arrondit" - nous ont sorti des films faciles, truffés de lieux communs, sans aucune subtilité et, surtout, en ne rendant pas les personnages sympathiques. Et, ça, dans une comédie, si l'on ne s'attache pas aux personnages, c'est foutu !
Dans les deux cas, on a juste envie de les secouer et de leur coller des baffes !
Comment voulez-vous éprouver de la sympathie pour des jeunes feignasses, qui passent leur journée à glander, qui fument de l’herbe à tout va et vont jusqu'à en revendre, qui baisent tout ce qui portent jupon, incapables de construire quoi que ce soit ni de s'investir dans aucune activité décente et qui vivent au crochet des autres, sans compter, en plus, à la fin, un côté "balance" qui vient s'ajouter à leurs nombreux défauts ?
Avec ça, on ne nous aura rien épargné, depuis les caïds tellement caricaturaux qu'ils en deviennent pathétiques en passant par une dame âgée qui planque un trésor dans un tableau (ben tiens donc, c'est évident, l’argent ça tombe du ciel !), sans parler de l'un des protagonistes qui va jusqu'à chier sur le paillasson de son voisin.
Décidément, la comédie française est tombée bien bas et on ne peut qu'espérer que la jeune génération remonte le niveau, sans quoi, non seulement on aura un cinéma nul, mais surtout les spectateurs se contenteront d’aller voir des films américains, car même leurs nanars sont encore mieux faits que cette daube !

Igor Gotesman a réalisé et écrit Five. Il a soigné ses personnages et les dialogues. Chacun a sa propre personnalité. La synergie entre les personnages est parfaite. Le film est drôle, moderne et rythmé. Le réalisateur a choisi la musique avec autant d’attention que le reste.

Igor Gotesman, Pierre Niney et François Civil ont déjà travaillé ensemble. Leur complicité est visible. Pierre Niney est Samuel. L’acteur est une nouvelle fois excellent. Il est au centre de l’histoire. L’histoire veut qu’il va former un duo avec François Civil, le duo est irrésistible. Le personnage de François Civil est particulièrement drôle. Complètement décalé par rapport au reste du groupe, chacune de ses apparitions déclenche les rires. Il faut dire que Igor Gotesman n’a reculé devant rien ! Quelques situations ou scènes crues mais jamais vulgaires. Margot Bancilhon est la seule fille du groupe. Le film démarre sur son personnage. Et elle est la voix off à quelques moments du film. Idrissa Hanrot, jeune producteur, joue ici son premier rôle d’acteur. Son personnage n’est pas bavard mais il complète parfaitement le groupe. Pour le négatif, quelques moments avec un humour au ras des pâquerettes et quelques scènes ou on se demande ce qu’elles viennent faire la si ce n’est que le réalisateur voulait absolument les tourner. Mais bon Rien de bien méchant

Five est un film de potes. Il dégage une belle énergie. On rit franchement

Décevant. Nous voici ici dans une comédie française très moyenne où les incohérences et attitudes vous énerve plus qu'elles ne vous font rire. Pierre Niney sort du lot avec une prestation toujours impeccable. Bref un scénario digne d'un téléfilm sur M6 un soir de semaine. Mais ce genre de comédie trouve son public et c'est tant mieux pour eux. Une note basse pour tenter d'équilibrer la notation de ce film sur-évalué à mon sens.

Une bande de cinq potes (et d'autres personnages) plus ou moins extravagants, quelques moments qui font sourire, mais au final une comédie française pas plus inspirée que cela, qui n'est pas ennuyeuse mais qui laisse quand même sur sa faim, des ficelles scénaristiques parfois grosses, je m'attendais à quelque chose de plus drôle et rafraîchissant par rapport aux comédies françaises habituelles. Sympathique, mais sans plus.

Un film de plus sur l'amitie , les amours , les engueulades etc...C'est parfois amusant , certains acteurs et second role sont bien , d'autres moyen , parfois un peu vulgaire.

Five est un très bon film. Un ptit vent de fraîcheur s’abat avec cette bonne comédie décomplexée très souvent drôle et parfois même hilarante. Bien que par moment allant un peu trop dans l’excès, ce qui fait que certaines scènes qui devaient être drôles le deviennent moins et presque embarrassante car moins maîtrisées. Je pense notamment à une scène en particulier, celle de l’ecstasy.
Une comédie de potes avec un tournant dramatique et l’ensemble fonctionne très bien sur un rythme effréné avec de très bons gags et des bonnes trouvailles.
La bande son est assez punchy, elle envoie bien et apporte ce côté jeune et frais au sein de l’œuvre.
Le réalisateur Igor Gotesman signe ici sa première réalisation avec réussite puisque sur ce plan et celui de la mise en scène je trouve que c’est de très bon niveau. Il est aussi très bon devant que derrière la caméra accompagné de ses acolytes dont Pierre Niney toujours excellent, François Civil, Margot Bancilhon, Idrissa Hanrot. Les présences de Pascal Demolon, Michèle Moretti, Bruno Lochet et Philippe Duclos y sont très bons aussi.
Presque pas de déchets, on passe un bon moment et Five mérite plus qu’un 5.
Ma note : 8/10 !

On espérait un film de potes grandiose. On en a juste un... quelconque. Five, en dépit d'un bon esprit de camaraderie, peine à nous embarquer au milieu de cette bande de cinq colocataires un brin timbrés.