Avis sur Black Widow

Que c'est mauvais ! Début intéressant, mais alors derrière..! plus ça avance, plus c'est grossier, tant dans le scénar que dans les vannes foireuses. Scènes d'actions brouillonnes (pourtant, pour ce genre de film, ça devrait être une force). Des situations d'où les personnages se sortent genre "WTF !". Bref, j'ai les yeux qui saignent quand je lis que certains le qualifient de "un des meilleurs Marvel" ! Dans le genre film raté de super héros, WW84 se posait là, mais, celui-là est pas loin derrière !

Un film qui divertit mais qui n'étais pas franchement indispensable à l'univers MCU. Placé chronologiquement entre « Civil War » et « Infinity War », Black Widow nous permet surtout d'en apprendre un peu plus sur le passé de cette héroïne. Il y a également l'apparition de nouvelles têtes : certaines sont sympa comme Florence Pugh, d'autres malheureusement sont là juste pour faire un rôle de guignol (triste pour David Harbour...)
Les scènes d'action et de combat se suivent non sans un certain plaisir heureusement, on ne qualifiera donc pas ce film de mémorable mais distrayant pour la dernière de Scarlett Johansson.

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C'est extrêmement mauvais, vraiment déplaisant. L'humour ringard pré-adolescent, ça passait déjà limite dans les punchlines de Schwarzenegger il y a 30 ans, mais aujourd'hui, mon dieu ce que c'est daté... et prendre des bimbos holiwoudiennes pour jouer les dures à cuir, que c'est grotesque. Et comme évidemment ce n'est pas crédible, le seul moyen qu'on a trouvé pour pallier ce manque de badass dans les personnages féminins, c'est justement de lopétiser tout ce qu'il y a de masculin. Bon... une purge, un vrai calvaire, vivement qu'on change d'époque.

Premier film Marvel à sortir depuis le début de la crise, soit près de deux ans, "Black Widow" se déroule entre les événements de "Civil War" et "Infinity War". Alors que les Avengers sont divisés, certains sont traqués comme Natasha Romanoff qui s'exile pour prendre du recul. Son souhait de se faire oublier ne va pas être exaucé puisqu'elle voit son passé resurgir. Ce retour aux sources du personnage de Black Widow n'est pas innocent puisqu'il permet de préparer l'avenir de l'univers Marvel étant donné les événements des derniers films et les annonces officielles. On découvre l'enfance de Natasha, mais aussi ses proches. Si c'est toujours une bonne chose d'en savoir plus sur des personnages que l'on suit depuis des années, ce film n'a rien d'indispensable à ce niveau-là. C'est un film d'action coupé en trois actes composés d'assez bonnes scènes d'action, mais entre ça, c'est l'ennuie. Toutes ces histoires de famille et de retrouvailles sont ennuyeuses. Des scènes bavardes qui semblent forcées et jamais naturelles à l'image des tentatives d'humour ou de la pseudo tension entre les deux sœurs lors des premières scènes qu'elles partagent ensemble. J'ai bien aimé le casting, mais le scénario est vraiment faiblard. David Harbour est bien déjanté tandis que Florence Pugh est vraiment géniale surtout lors de la première partie quand elle a la place pour s'exprimer. Bref, ça reste un gros film avec quelques bons moments quand ça s'anime, mais l'ensemble est quand même décevant à cause d'une histoire pas spécialement distrayante.

Super fan du monde Marvel depuis les premières BD et fan aussi de tous les films et séries issue de Marvel, j'ai attendu la sortie de ce film Black Widow avec beaucoup d'impatience et je me sens : trahi!
Quel superbe navet. Quel ratage !
Comment peuvent-ils réaliser une telle catastrophe ?
Scénario nul, dialogues ennuyeux et interminables, intrigue compliquée.
Bref! A oublier très vite.

Pas grand chose a retenir de cet épisode. Trop long , souvent incompréhensible , quelques traits d'humour et certains décors pas mal sauve l'ensemble mais c'est trop peu.

Mais pourquoi je continue à regarder les Marvel. Ils tournent en rond depuis des années, soit ils nous font des films illisibles avec des effets spéciaux à gogo, soit ils tentent des œuvres plus axées sur la psyché des personnages, mais dans ce cas le fond est d'une telle pauvreté scénaristique et d'un convenu qu'on s'y ennui à mourir. Passez votre chemin....

Une daube de plus en provenance de Disney. Un scénario ultra convenu sur les origines de Black Widow et un happy end pathétique.
Il n'y a rien à retenir de cet opus, même pas l'interprétation de Scarlett.

Film nul aussi bien en terme d'ambiance , du jeu d'acteurs que ses dialogues . L'histoire est éclatée , les scenes sont interminables et endorment ...je comprends pas que ce genre de film fonctionne c'est sans substance et mauvais mais grâce à un bon marketing les jeunes vont voir ça..faut aussi arrêter avec Scarlet Johansson just par ce qu'elle est bancable et que son mom attire ...bref une daube ne perdez pas votre temps et argent

Black Widow est un bon film mêlant espionnage et super-héros.
Le film offre enfin (avec Avengers Endgame) un vrai intérêt pour le personnage de Black Widow, dont la personnalité alternait entre chaque film du MCU et qui faisait en effet souvent l'objet d'une sexualisation inutile. Ici le traitement du personnage lui fait honneur.
Le film démarre avec une excellente première scène aux États-Unis en pleine Guerre Froide où une famille dont les parents sont des espions russes se retrouve exposée et doit s'enfuir dans la précipitation et tout abandonner derrière elle. Cette scène donne le ton du film où l'espionnage et les relations familiales avec cette fausse famille seront au cœur de l'intrigue.
Les acteurs sont très bons. Les scènes d'action ne seront peut-être pas les plus mémorables mais fonctionnent tout de même parfaitement bien. Les effets spéciaux sont irréprochables.
C'est plutôt réusssi.

Le seul point négatif est qu'il arrive après endgame. Scarlett Johansson méritait sa propre trilogie. Un film plein d'action, d'émotion, de tristesse refoulée, d'humours et d'amour divers. Pas besoin de romance pour Natasha à la différence des autres super héros. C'est l'histoire de deux sœurs, l'une qui l'on sait ne sera plus dans quelques années et l'autre qui reprendrale flambeau. J'étais septique pour Yelena. Très septique mais voila elle a su jouer à la perfection le rôle de la petite sœur. Elle est touchante, aventureuse, drôle et bouleversante. Merci pour les larmes coulées. C'était un film que j'attendais et je n'ai pas du tout était déçue

Précisons que ce film se place chronologiquement après "Captain America : Civil War" (2016) et "Avengers : Infinity War" (2018). Disney/Pixar semble en tous cas croire énormément au potentiel du film avec un budget qui place la fourchette haute des productions Marvel. Malheureusement la déception est d'autant plus grande et clairement la faute incombe à la mise en scène et à trop d'invraisemblances. On constate que Natasha Romanoff est une super-héroïne vraiment au supers pouvoirs ! Pourtant, à l'instar d'un Hawkeye elle reste une humaine aux capacités au combat certes exceptionnelles mais qui n'ont rien de surhumain, soudain ici elle passe la ligne jaune de la vraisemblance. Ce film est trop inégal pour convaincre pleinement, surtout d'un point de vue technique. Ca reste un divertissement pop-corn qui fait le job si on est pas trop regardant, en apprendre davantage sur l'héroïne et percevoir la suite du MCU reste séduisant dommage qu'il y ait trop d'esbroufe et de FX médiocres.
Site : Selenie

Nul! Nul! Nul! Encore un film pourrit vomit par le MCU. Scarlett Johansson joue toujours aussi mal, son personnage n'est toujours pas attachant et l'intrigue est banale. Je me suis ennuillée tout le long. Bref un film inutile et oubliable. Sa mort dans Avengers Endgame était déjà sans impact mais de revoir ce personnage m'a laissé complètement froide

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POST-GENERIQUE
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Black Widow rousse aux cheveux longs = 5 étoiles directe, mais plus sérieusement:

Etait-ce dû aux deux années de hype? que mon niveau d'attente avait atteint des sommets ridiculeusement infranchissables?
Maintenant que je vois les notes générales presse et spectateur Allociné j'ai la réponse à cette question que je me suis posé très tôt pendant le visionnage de ce film: non; Il est juste pas terrible.
Le charisme de l'ensemble des personnages de 'la famille" est bien présent, le danger et les 'enjeux' bien réels, mais l'implication du spectateur... dans mon cas, déconnecté.
Subjectivement, je vois plus ce film comme un immense teaser de l'entrée de Florence Pugh (Yelena Belova) dans le futur du mcu (grande hâte), qu'un dernier hommage à Black Widow sacrifiée dans Endgame pour sauver l'univers, (mort totalement écrasée par celle de Stark), au retrait définitif de Scarlett Johansson après 10 ans de mcu, dont le personnage (et le film fait dans l'autodérision à merveille) a longtemps servie de pin-up en tenue moulante, sexualisées, 'fausse super-héroïne' faisant jolie à côté des 'vrais super-héros' masculins; personnage méritant son film solo 'Girl-Power' depuis bien des années mais validé seulement TRES tard.
Un film très attendu, (en mon sens) hélas, totalement oubliable.
Concernant l’aspect graphique, là où le rated R (dont personne ne croyait) n’a effectivement pas été retenu, le film a fait un effort très correct concernant la présence de sang.
Niveau combat c’est de la chorégraphie au corps à corps de grande qualité, côté humour, Marvel se moquant lui-même de son comportement passé, fonctionne bien, mais.. le rythme.. quelle catastrophe!
Il m’a rappelé Endgame (que j’ai pour le coup totalement eu en catastrophe): de l’ennuie.
Tout le problème du film réside dans sa construction, le film se veut centrer ‘famille’ mais impossible de s’impliquer, le danger se veut grave mais impossible de s’impliquer, histoire dramatique d’un personnage connu et aimé depuis 10 ans accompagné de nombres d’autres jeunes filles ayant subie le même sort, mais impossible de s’impliquer; Bien que (encore une fois) les filles et ‘leurs parents’ soient adorables, tout est dans la suffisance, pas de folie, trame bateau filant de A à B, rien de mémorable (sinon les dernières secondes de la post-générique), pour un tout en dessous des habitudes des fans mcu. Le film est vide.
Parlons-en de la post-générique.. spoiler: rassurez moi? C’est une pierre tombale édition familiale pourrie/coin paumé de l’Ouest de l’Europe sur laquelle se recueille Yelena? Aux Etats Unis Natasha a eu droit à une sépulture de Reine? Parce là, bonjour l’arnaque… Au-delà de l’arrivé de Florence Pugh, ce film ne teaserait-il pas la série Hawkeye?


Dépassé le ‘ok je c’est au-dessous de ce à quoi je m’attendais’, Black Widow reste un des films du moment à aller voir sur grand écran, mais, à moins d’être riche, immense fan, ou très sure de vôtre coup, évitez le supplément de 7€ pour une séance Dolby-3D, la 3D étant totalement dispensable.

La formule est bien connue, répétée ad nauseam pendant plus de deux heures par la super-héroïne : « you’re ok ? ». Elle clôt les séquences de destruction massive, achève les combats ou scande les offensives entre deux bourre-pifs et autres castagnes ultra spectaculaires – ou voulues ainsi. Derrière elle se cache pourtant le problème de fond de Black Widow, qui est également celui de nombre de blockbusters contemporains : résoudre la violence par une pirouette composée de deux petites lettres. Une telle démarche aseptise la brutalité d’ensemble et empêche le spectateur de ressentir en lui les coups portés. Comment éprouver de l’empathie pour des êtres qui ne souffrent pas et dont la gesticulation incessante, à grand renfort d’effets spéciaux, nous fait perdre de vue l’humain dans sa fragilité fondamentale ? Comment croire en des figures qui n’ont, pour seule appréciation de leur état physique et moral, qu’une brève expression ? « Ok ». Voilà qui est curieux : augmenter la dose de psychologique et de pathos sans représenter au préalable la faiblesse, sans arrêter la caméra – constamment tendue vers le climax à venir – sur les conséquences physiques d’un couteau planté dans la jambe ou d’une chute depuis le sommet d’un immeuble. Le long métrage atteste un culte de la performance stérile axé sur une axiologie simple : soit on est ok, soit on est ko. Rien entre les deux. Marvel épouse alors malgré lui l’automatisme froid et désincarné des antagonistes qu’il met en scène : sa femme n’est plus une femme, pas même une humaine, elle devient machine. Le paradoxe est grand : investir le terrain de la manipulation technologique, qui empêche les agents de penser par eux-mêmes, en caractérisant d’emblée lesdits agents comme des robots programmés pour le combat. Nous rions aussi en observant l’entêtement du film à entretenir un cercle exclusivement féminin, là où la femme cède le pas à la créature numérique sans désirs ni profondeur émotionnelle – l’ouverture du long métrage ne sert ainsi qu’à amener un semblant de traumatisme, artificiel et idiot. Black Widow est un film hygiénique qui représente des accidents et des combats propres sur eux, qui recourt à une imagerie uniforme et qui disparaît après utilisation tel du papier dans les latrines.