Derniers Avis : Donne-moi des ailes - Page 10

Certes les images sont magnifiques mais quand on connaît les conditions dans lesquelles ce tournage a eu lieu, ça donne envie de pleurer. Des réserves naturelles ont été saccagées par les équipes de tournage. Les espèces protégées ont été délogés de leur milieu naturel pour faire de "belles photos ". C'est tout simplement scandaleux. Quant au scénario invraisemblable, n'en parlons pas ! L'adolescent joue faux du début à la fin. Il n'est vraiment pas doué, et ça gâche tout. . Il doit être le fils du producteur, c'est pas possible autrement. Quant à Mélanie Doutey, elle est hystérique, et nous remplit d'ondes négatives à chaque apparition. Jean Paul Rouvre n'était pas le bon choix pour ce rôle, il n'est pas crédible du tout. Il devrait se cantonner aux Tuches. Bref j'aurais préféré voir un documentaire sur la Camargue, sans acteurs et sans ULM.

Ce film est excellent tant au niveau des vues magnifiques et du jeu d'acteurs. Un film courageux qui nous invite à la réflexion. A montrer sans hésiter aux ados qui sont un peu perdus et qui cherchent un sens à leur vie. Jean Paul Rouve est brillant et j'ai trouvé le rôle de Frédéric Saurel (Bjorn) très touchant et attachant.

Excellent ! Les paysages sont magiques ! C’est vraiment un film magnifique ! Regardez-le, vous ne le regretterez pas !

Rien que pour les images, le film vaut le détour. Scénario simple et plein de bons sentiments..... mais très efficace.

Acteurs médiocrissimes, niveau téléfilm, scénario enfantin. Quelle déception ! sans parler de l'idéologie véhiculée en totale contradiction avec un tournage destructeur.

Histoire très sympa, bien filmée et dans l'air du temps à l'heure où l'on doit préserver la nature et notre environnement.
En dehors de la maman du petit garçon les acteurs jouent juste et se sont bien imprégnés de l'histoire et des conséquences de chacune de nos actions.
L'action est assez lente, mais suffisamment intense pour nous garder bien réveillé jusqu'à fin du film.
Une jolie réussite.

Un très beau film de Nicolas Vanier avec Jean-Paul Rouve Mélanie Doutey Louis Vazquez sur la sauvegarde des oiseaux en voie de disparition.

Si je mets une note aussi basse, en voici les raisons. Le film est truffé d'incohérences au niveau des espèces: un exemple le Lynx aperçu dans le film est un Lynx pardelle qui vit plutôt en Espagne ! C'est une fable soi-disant "écologique" mais on oublie de spécifier que le tournage a eu lieu, en France , sur un site de nidification des Flamants roses , un milieu protégé, des flamants roses qui sont une espèce protégée aussi ! Ceci a été fait sans les précautions nécessaires , occasionnant ainsi l'abandon des nids et donc de la reproduction !!!!! Mais de ceci aucun média n'en a fait état et Monsieur Vannier s'est bien gardé de le déclarer aussi ! Le film est mal joué avec des acteurs qui sont semble-t-il peu convaincus de la nécessité de sauver une espèce. Je ne sais même pas si avant le film , ils savaient faire la différence entre Bernaches et Oies naines ! Le top c'est la voix-off à la fin du film qui déclare" Nous n'héritons pas de la terre de nos ancêtres, nous l'empruntons à nos enfants", proverbe indien !!!!!!! Si la culture avait été AUSSI dans ce film on en aurait connu la véritable origine : C'est un proverbe africain issu de "Terre des hommes" de Saint-Exupéry !!!! Un petit conseil Monsieur Vannier, lisez St Exupéry et restez dans les sphères de vos expéditions hautement médiatisées très juteuses au niveau financier mais de grâce ne parlez pas d'écologie, de culture et de protection de la nature, car je pense que vous êtes très loin du compte !!! Et soit dit en passant , du bon et du vrai cinéma aussi

"Donne moi des ailes" est inspiré par l'histoire de Christian Moullec, météorologiste de formation et passionné d'ornithologie, devenu un pionnier du vol en ULM avec des oiseaux. C'est en 1999 qu'il a mis en œuvre son projet de migration en ULM avec de jeunes oies naines guidées depuis le nord de la Suède vers des zones d'hivernage plus sûres. On est d'accord : dans le scénario du film, à l'écriture duquel Christian Moullec a d'ailleurs participé, de nombreuses libertés ont été prises par rapport à la réalité des faits. C'est ainsi que, dans la réalité, le vol s'est déroulé entre la Suède et l'Allemagne, et non entre la Norvège et la Camargue, les zones d'accueil hivernal privilégiées actuelles étant d'ailleurs le parc national d’Hortobágy en Hongrie ou les prairies côtières de Matsalu en Estonie. Qu'importe ! Ce qui compte ici, c'est le résultat, recherché et obtenu, car, comme le dit Allain Bougrain-Dubourg, président de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) et soutien du film : « Le film a ceci d’extraordinaire qu’il invite à l’engagement. Au fond, c’est l’histoire d’un gamin qui ne va pas rester indifférent face à une espèce menacée, et qui se dit à sa manière : Comment je peux agir ?». Il y a en effet une autre liberté prise par rapport à la réalité des faits : l'implication particulièrement importante de Thomas, le fils de Christian et Paola (à noter que les véritables prénoms du couple Moullec ont eux été conservés), dans l'épopée aérienne. Un "gamin" qui, par sa métamorphose au contact des oisillons et par son action, permet aux enfants et aux adolescent.e.s de se sentir encore plus impliqué.e.s dans tout ce qui touche à la sauvegarde des espèces menacées.  

-Donne-moi des ailes est un film réalisé Nicolas Vanier sorti le 9 octobre 2019 au cinéma avec plus de 1 435 000 entrées sur 24 semaines. Les acteurs principaux sont Jean-Paul Rouve (Christian), Louis Vazquez (Thomas) ainsi que Mélanie Doutey (Paola).

-Christian, scientifique, étudie les oies sauvages. Pour son fils adolescent, addict aux jeux vidéos, l'idée de passer des vacances avec son père en pleine nature est un cauchemar. Pourtant, père et fils vont se rapprocher autour d'un projet fou : sauver une espèce en voie de disparition.

-Une belle aventure à regarder en famille ! J'ai passé un bon moment à suivre l'éducation des oies, j'ai beaucoup appris grâce à ce film. C'est mignon de l'ai voir naître. Pour le casting, c'est du correcte, Jean-Paul Rouve est émouvant dans son rôle, par contre le petit garçon est médiocre. C'est dommage car il joue un rôle important de le film. Quelques scènes sont un peu exagérées, c'est parfois surréaliste. Un beau film qui plaira aux petits comme aux grands !

Le 7ème Art Français.J'ai vraiment aimé ce film. Il est sensationnel, émouvant comme il faut j'ai passé un super moment. Un film français quoi.
Le gamin Louis Vazquez est super. Mais je n'oublie pas Jean-Paul Rouvre, Mélanie Doutey et Frédéric Saurel.qui sont eux aussi très bien.
Une bien belle histoire et scénarisée en partie par Christian Moullec donc cela doit bien coller avec la veritable aventure.
J'espère seulement que la controverse qui incombe Nicolas Vannier n'est pas réelle car cela gacherait énormément le film.

jolie histoire qui nous rapproche de la nature et les acteurs sont sensibles dans cette belle histoire
sa nous ouvre les yeux ce qui est le plus existentiel quon as tendance a oublier de nos jours

Comme souvent chez Nicolas Vanier, les bons sentiments dominent dans ce feel good movie assumé. Certes c'est archi convenu mais on se laisse prendre dans cette belle histoire soutenue par des acteurs concernés. Rouve est extraordinaire.
On passe un excellent moment au final devant cette aventure à la fois écologique et humaine d'autant plus que Vanier est un maître pour filmer la nature. Les images sont éblouissantes!

La très grande force du cinéma de Nicolas Vanier, c’est de démontrer non par thèses mais en actes. Il y a chez lui ce même refus des logorrhées verbales inertes qui anime le personnage de Christian, écrasé sous les procédures administratives dont la finalité n’intéresse à vrai dire personne, du moins pas les politiciens pour qui l’environnement ne représente un investissement ni rentable ni capitalisable. Il faut du mouvement, de l’action, de la vie pour essayer de faire changer les choses. Pourtant, le cinéaste refuse la dichotomie qui renverrait dos à dos la vie urbaine irrespectueuse et la vie rurale écologique : le père est aveuglé par sa passion au point de négliger sa famille ; le fils est pris entre ces deux milieux et tend à devenir, au fil de ses aventures, un citoyen du monde. En effet, le jeune Thomas réussit à concilier culture de l’écran et connaissance responsable de la nature dont il se rend non pas le maître mais le protecteur, à l’instar de cette séquence de tempête qui le contraint à affronter des éléments naturels plus forts que lui tout en se ménageant, par l’endurance qu’il manifeste contre vents et marées, une ouverture, une trouée lumineuse par laquelle s’échapper et ainsi s’élever au-dessus des nuages. Thomas passe de l’autre côté de l’écran, cesse de jouer aux voitures sur sa console pour devenir le héraut d’une petite cause porteuse de grands espoirs dont s’emparent les différents médias. Il se sert de notre société-écran pour changer son projet personnel en buzz à retombées collectives et universelles, puisqu’il rallie les états, communie avec les langues nordiques, redouble le trajet des oiseaux d’un réseau international réuni autour d’une même cause. Donne-Moi des ailes est un acte de foi en l’homme capable d’agir sur et pour le monde, un acte de foi en l’enfant conscient de l’impact que peuvent avoir ses actions – ou son inaction – sur le monde dont il hérite et qu’il léguera aux siens, une fable politique européenne ou plus largement interétatique qui décloisonne les espaces, dépasse les frontières pour raccorder l’humain à ce lien primordial qui le rattache à sa mère-nature. On pourra reprocher à Donne-Moi des ailes le convenu des relations familiales qu’il met en scène, ainsi que l’évolution psychologique du fils, trop brutale pour réellement convaincre. Mais qu’importe. C’est un film de responsabilisation qui réussit à tenir un discours accessible à tous les spectateurs grâce à des images magnifiques qui, comme toute expression du beau, sont prises entre une impression d’éternité et leur terrible fugacité, la menace qui pèse en permanence sur elles. Aussi le film propose-t-il en creux une défense de l’art, un art qui est le fruit direct d’une contemplation de la nature et d’une méditation sur ses pouvoirs, et qui a la simplicité et l’insouciance de l’enfance. Une œuvre modeste et importante.

Très déçu par ce film. La réalisation est mauvaise, les cadrages inappropriés et ratés pour beaucoup, tandis que le jeune acteur a dû être recruté plus par relation que pour ses qualités. Le film est plat, long, malgré de très belles images. On attend la fin avec impatience. Je n'ai pas réussi à rentrer dans l'histoire. Aucune émotion, alors que je suis habituellement rapide à rentrer dans ce type de film : Belle et Sébastien, Rémi sans famille... et à ressortir les yeux rougeoyants.
Ici, rien, le vide sidéral !! Dommage, Jean-Paul Rouve et Mélanie Doutey auraient mérité mieux. Nicolas Vanier nous a habitué à mieux, notamment son excellent film "L'école buissonnière" que je pourrai voir et revoir de nombreuses fois.