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Synopsis et détails
Asta Nielsen, Greta Garbo, deux femmes, deux visages que personne ne peut plus oublier. L’un est l’aboutissement de toute une tradition qui marque profondément l’avenir du cinéma. L’autre est le reflet d’un art d’une pureté extrême qui illumina l’art cinématographique mondial. Le visage d’Asta Nielsen est toute intelligence, toute science, et son masque blafard est inséparable du souvenir de Cesare le somnambule.
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89 abonnés
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2,5
Publiée le 14 juillet 2013
Oh que ça m'ennuie de critiquer ce film... Je l'attendais tellement ce film et je suis épouvantablement déçu. Bon déjà voir que le film durait 2h20 et non 1h30 comme indiqué sur SensCritique, ça me rendait ronchon. MERCI SENSCRITIQUE! Désinformation! Médias, collabos! Ahem, je m'égare... Parce que bon 2h20 de muet faut se les coltiner, quand je vois un Lang ça passe mais vu le pessimisme du film en question, j'ai eu du mal à tenir. ...
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Plume231
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1858 abonnés
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2,0
Publiée le 24 octobre 2013
Intéressant de voir que le film choral est un genre qui n'a pas attendu Robert Altman et Alejandro González Iñárritu pour exister.
En témoigne ce film muet réalisé par Georg Wilhelm Pabst, le cinéaste allemand le plus talentueux de l'époque après Fritz Lang et Murnau, où le rue du titre sert de prétexte à montrer le destin d'une dizaine de personnages en se focalisant surtout sur deux d'entre-eux, l'un incarné par Asta Nielsen ...
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chrischambers86
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5820 abonnés
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4,0
Publiée le 22 octobre 2009
Tournè uniquement en studio, avec des dècors et des èclairages marquès par le style expressionniste, "La rue sans joie" de Georg Wilhelm Pabst occupe une place charnière dans le cinèma allemand, dont il marque une sorte de renouvellement, aussi bien du point de vue de la forme que du point de vue du contenu! Le sujet du film est simple, quoique ambitieux, puisqu'il s'agit de montrer la ville de Vienne au temps de l'inflation! Une ...
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Frédéric P
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10 abonnés
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4,0
Publiée le 6 novembre 2019
Vienne 1921, la misère après la guerre. Pabst montre comment la classe moyenne ruinée est tentée par la perte de ses repères moraux.
Profiteurs de la misère la figure du boucher affameur mais protégé par la police, du diplomate protégé par son immunité diplomatique, de l'entrepreneur, tous se retrouvent dans un club/hôtel pour profiter des femmes obligées de se vendre pour manger.
Greta Garbo dans un de ses premiers rôles est superbe.