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Synopsis
Il s’agit d’un portrait d’un âge de la vie : 16 /18 ans. A cet âge-là, si on a de la chance on est au lycée, ici on est à Ivry et on discute entre les cours, même parfois pendant les cours. Assis dans le couloir ou dehors sur un banc ou sur le parapet avec vue sur la ville. Les jeunes gens dialoguent à deux ou à trois et ils découvrent leurs histoires respectives, celles dont ils héritent, de la famille, et ils parlent de leurs passions et de leurs solitudes. A cet âge-là chacun voit le moment où il faudra quitter la famille, quand elle existe… Et la fuir encore plus quand elle est toute cassée. Être seul c’est bien et c’est mal. On cherche, on en discute.
Anecdotes de tournage, notes d'intention, informations cinéphiles : chaque semaine, découvrez les coulisses des sorties…
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Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
C'est très mal filmé par une réalisatrice amateur qui ne sait pas tenir une caméra et qui est incapable de donner une image viable de la jeunesse. On n'est jamais ému par ces adolescents ni par leurs émois. Un film stérile, plat, qui ne sert à rien.
Cinephille
130 abonnés
627 critiques
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2,0
Publiée le 20 novembre 2018
J’aime beaucoup le travail de Claire Simon mais pas celui-là. D’une part ces conversations entre jeunes plus ou moins téléguidées se traînent en longueur d’autre part on ressent un profond malaise à voir la vie de ces familles ainsi étalées. On se dit que ça risque de ne faire qu’empirer la difficulté de ces familles et qu’il est peu probable que ça améliore les choses pour ces jeunes qui se confient. On est également ...
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Yves G.
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3 149 critiques
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2,0
Publiée le 22 novembre 2018
Claire Simon devait tourner un court métrage avec des élèves de première, option cinéma, d'un lycée du Val-de-Marne. Avant de commencer ce travail, la réalisatrice les a filmés face caméra leur demandant de parler de la solitude. Leurs réponses l'a étonnée : au lieu de parler de leurs premières solitudes, les jeunes lui ont parlé de leurs parents, de leurs difficultés à communiquer avec eux.
La réalisatrice a eu l'idée d'en ...
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Anton75
18 abonnés
73 critiques
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2,0
Publiée le 24 novembre 2018
Même si les histoires personnelles de ces lycéens sont touchantes, voire dramatiques, on a du mal à s'y intéresser. On mesure alors que la matière n'est peut-être pas à la hauteur du sujet, qui s'enfonce dans la banalité, au lieu de s'ancrer dans l'universalité. Reste, à la demie heure du film, un moment saisissant : Hugo éclate en sanglots avant de parler de sa solitude et de l'indifférence de son père. On n'est pas près d'oublier ...
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Premières Solitudes est né de la rencontre entre Claire Simon et dix élèves de la classe de Première, spécialité Cinéma, du lycée Romain Rolland d’Ivry-sur-Seine dans le cadre d’un partenariat entre la ville, le cinéma le Luxy et le lycée. Alors qu'ils devaient travailler ensemble sur la réalisation d'un court-métrage, la réalisatrice les a tout d'abord interrogés un à un face caméra sur la solitude : "J’ai choisi la solitude comme question parce
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De seul à plusieurs
La réalisatrice a choisi de ne pas garder les entretiens face caméra qu'elle avait filmés au début du projet mais de créer le dialogue entre les lycéens afin qu'ils se sentent plus libres et qu'ils aient le contrôle de leurs récits : "J’avais remarqué qu’ils étaient passionnés par le fait de parler de leur vie et d’écouter celles de leurs copains dans les entretiens préalables, parce qu’au fond ils ne se connaissaient pas bien, ne se voyant qu’un
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La figure du père
Claire Simon s'est aperçue au fur et à mesure des entretiens que la figure du père était centrale pour ces lycéens : "Les mères souffrent, sont abandonnées, ou méchantes, et les filles endossent leur souffrance, mais le père reste incompréhensible, comme une statue fissurée qu’il faut redresser sans cesse, ou abattre définitivement".