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Synopsis et détails
Interdit aux moins de 16 ans
Un jeune homme d'une étrange beauté s'introduit dans une famille bourgeoise. Le père, la mère, le fils et la fille succombent à son charme. Son départ impromptu ébranle tous les membres de la famille...
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5,0
Publiée le 5 mai 2013
Le chef d'oeuvre de Pier Paolo Pasolini! Dans cette oeuvre controversèe qui fut taxèe d'oscène par la fraction rètrograde de l'autoritè religieuse, une famille bourgeoise honorable est visitèe par une sorte d'ange rèvèlateur, qui en sèduit tous les membres! "Thèorème" a une audace exceptionnelle pour l'èpoque, audace tempèrèe par un esthètisme parfois prècieux; on y dècouvre des images à la limite du surrèalisme! On y voit une ...
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L'homme le plus classe du monde
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1,0
Publiée le 23 septembre 2013
Wow... Je ne m'attendais pas à un film aussi expérimental. Théorème est un film bien trop mystérieux pour être totalement réussi à mes yeux. Un type, séduit tous les membres d'une famille bourgeoise avant de partir. Qui est-il, d'ou vient-il, depuis quand est-il là ? On ne sait pas. La première partie donne la désagréable impression d'avoir manqué lé début du film. Puis le type s'en va (pourquoi ?). Et là ça devient vraiment ...
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Estonius
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0,5
Publiée le 25 novembre 2012
Considéré à l'époque de sa sortie comme un chef d'œuvre par les Cahiers du cinéma, le film fit scandale, mais ce n'est pas parce que ça fait scandale que c'est bien ! Dieu (Terence Stamp) est un jeune éphèbe à la braguette saillante, qui transfigure chacun des membres d'une famille bourgeoise avec qui il couche successivement : la mère se suicide après avoir enfin connu le plaisir, le fils se lance dans la peinture gestuelle, la fille ...
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Anaxagore
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2,5
Publiée le 13 janvier 2009
Tel que je l'ai perçu, «Théorème» pourrait bien être la mise en forme par Pasolini d'un véritable délire christo-érotico-marxiste. L'ouvrage est brillant, mais, avouons-le, souvent proche du ridicule (ce qui prouve que le ridicule ne tuait déjà plus en 1968). Le réalisateur y récupère l'idée chrétienne de Révélation à des fins qui n'ont plus grand chose à voir avec l'Évangile. Il en modifie en effet tant le mode que le ...
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Théorème a été présenté à la Mostra de Venise en 1968, une édition marquée par l'agitation politique de l'époque. Laura Betti y a décroché le Prix d'interprétation féminine. Le film a également remporté le Prix de l'Office Catholique du Cinéma.
Equation scandaleuse
Point culminant des attaques à l'encontre de Théorème : un procès s'ouvre à l'automne 1968 pour "obscénité", à l'initiative d'un avocat romain, qui a obtenu la saisie des copies. Mais le cinéaste, sur lequel pèse une menace d'emprisonnement, sera finalement acquitté, et Théorème, un temps écarté des écrans, pourra de nouveau être programmé.
Pas très catholique ? Quoique...
Avec Théorème, Pier Paolo Pasolini n'en est pas à son premier scandale (L'Evangile selon Saint Matthieu, La Ricotta ont été violemment contestés). Le film reçoit le Prix de l'office catholique à Venise... mais cela n'empêche que le Vatican condamnera cette oeuvre judée "moralement dangereuse".
Un jeune homme d'une étrange beauté...On repassera pour ce qui est de la beauté de Stamp, fût-elle étrange.Un film d'un ennui abyssal qui fait regretter que Pasolini ait voulu toucher au cinéma.
ClyGwentas
Moi je trouve ça étrangement beau aussi..la beauté angélique du personnage, les rapports tortueux ou superficiels. C'est un film complètement libre, à prendre ou à jeter. & puis j'adore Terence Stamp.
brunodinah
Après "La Dolce Vita" (de mon cycle Cannes), "Le pigeon" qui est passé sur Arte ce lundi 26/05/2014, puis ce "Théorème", je dois dire que ces trois films m'ont ralenti à découvrir le cinéma italien."La Dolce Vita", même si elle représentative du renouveau italien, m'a laissé pantois."Le pigeon", de Mario Monicelli, ne m'a pas marqué outre-mesure, et en dépit du vieillissement du film (disons ce qui est), on rit allégrement devant des trouvailles (certes recherchées pour l'époque) qui sont juste aréables à dénicher. Un vieux film donc mais offrant au genre, avouons le, son apothéose grâce notamment à l'abattage des compagnons Marcello et Vittorio.Pour "Théorème", ma critique va paraître d'ici quelques jours. En revanche, il m'a rafraîchi la mémoire sur le style à l'italienne des films de la période des 60's (tout comme "La Dolce Vita" et "Le pigeon").
ygor parizel
pas ce que Pasolini a fait de mieux mais vraiment dérangeant