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    The Yards
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    302 critiques spectateurs

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    LaBrute
    LaBrute

    9 abonnés 275 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 mai 2023
    Pas beaucoup d'originalité dans son traitement et son scénario, on s'ennuie vite devant le long métrage
    L'homme sans nom
    L'homme sans nom

    140 abonnés 889 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 février 2023
    The Yards est le deuxième film de James Gray, où l'on retrouve un gros casting d'acteurs réputés et en devenir. Les films de gangster me parlent assez peu généralement, c'est toujours le cas ici. Le scénario ne se prête pas à une tension ou à des séquences impressionnantes. Les trente dernières minutes se démarquent nettement pour le flot d'émotions qu'elles procurent. Mais comme il est co-écrit et dirigé par un de mes réalisateurs préférés, mon ressenti est bon. Réaliste et assez intimiste, on retrouve dans The Yards tous les thèmes chers à James Gray, qui étaient déjà présent dans Little Odessa. The Yards est pour moi légèrement en dessous de ce dernier. Mais pour les amateurs du genre, il est à considérer comme un incontournable film de gangster.
    Margauxcornetto
    Margauxcornetto

    11 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 novembre 2022
    Une belle réalisation de James Gray. Encore une fois par la progression des personnages tout au long du récit.
    kieran_h3ld
    kieran_h3ld

    25 abonnés 680 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 juillet 2022
    The Yards est un film complètement dans la lignée de Little Odessa, tellement qu'on peut vite y voir des redites dans les thèmes abordés. Retour dans la famille, famille à deux facettes, relation fraternel (même sans lien de sang), mère avec des gros problèmes de santé, figure paternel absente ou avec une relation difficile (beau père de Erika), milieu urbain où la violence triomphe toujours, et puis ce penchant pour la tragédie.

    Mais quand on regarde plus loin, il y a quand même pas mal de changements, qui pour la plupart sont en faveur du second film de James Gray. Il déroule son histoire avec une ambition et un regard bien différent, se plaçant notamment plus du côté de Leo, par la même occasion il définit assez vite un méchant, en ajoutant une trahison à la relation fraternel, qui nous donne par ailleurs de grands moments comme cette bagarre de nuit entre les deux hommes.

    C'est la aussi que l'évolution par rapport à Little Odessa se voit, il s'est plus lâché au niveau de l'écriture de ses personnages, qui eux même se lâchent plus, forcément. Ils sont tous bien approfondis et ils amènent à tas de choses bien complexe, comme ce triangle amoureux qui n'est certes pas la plus grande réussite du film, mais qui est quand même assez malsain.

    Gray à aussi décidé de plus se concentrer sur le coté mafieux de cette société et de New York. On y retrouve donc toujours cette sobriété glaçante et élégante dans sa mise en scène, il met en place un univers sombre, noir, oppressant, dans ce milieu de la nuit en plus de cela, au milieu des tunnels et des rails.

    Mais encore une fois, le jeune cinéaste a réussit à se renouveler. Il se permet quelque "folie" comme ce passage dans une boîte de nuit avec du rouge de partout, une foule en délire et de la grosse musique, une musique qui d'ailleurs est bien plus présente que dans Little Odessa, et ça a du sens. Il pratique aussi un montage nouveau, notamment dans les quelques scènes de tensions venant agrémenter le récit. La scène de l'hôpital en premier lieu.

    Et puis il faut aussi féliciter le casting, ainsi que le travail de direction d'acteur de James Gray. Un Casting extraordinaire encore une fois, Mark Wahlberg tout en sobriété, James Caan qui prend sa revanche avec le Parrain, étant le patriarche de la famille (de plus une famille mafieuse), Joaquin Phoenix, Charlize Theron et bien d'autre.

    Un second film plus que réussit, qui au minimum égale Little Odessa.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 004 abonnés 4 088 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 juillet 2022
    C’est grâce à Miramax, société de production des frères Weinstein, que James Gray parvient en 2000, six ans après « Little Odessa », à réaliser son second film dont une fois encore il écrit lui-même le scénario en y intégrant des éléments autobiographiques. Ici, un film de gangsters prenant pour cadre le scandale de corruption qui frappa la régie du métro de New York au sein de laquelle son propre père travaillait à la même époque. Comme chez Francis Ford Coppola, la famille est pour James Gray l’endroit où se jouent tous les drames, où se font et se défont toutes les destinées. Comme Joshua Shapira (Tim Roth) qui dans « Little Odessa » revenait dans son quartier d’enfance pour y exécuter un contrat, Leo Handler (Mark Wahlberg) rejoint le bercail mais cette fois-ci après sa sortie de prison. Il va s’agir pour lui de se réinsérer afin de ne pas affaiblir un peu plus Val, sa mère (Ellen Burstyn), dont le cœur est usé par les méfaits à répétition de son fils unique. L’occasion est trop belle, son oncle Frank (James Caan) marié à la sœur de Val (Faye Dunaway) étant le PDG d’une société d’entretien des rames du métro new yorkais. Les promesses d’usage vont donc bon train, permettant d’envisager sereinement une remise sur les « bons rails » du jeune égaré. Mais la présence de Willie (Joaquim Phoenix), le fiancé de la cousine (Charlize Theron débutante) de Leo qui mène grand train, lui laisse entrevoir une reconversion plus glorieuse et immédiatement plus lucrative. Willie gère en sous-main pour Frank toutes les négociations utiles à la « bonne attribution » des précieux marchés. Sous la pression de Willie et de sa femme, Frank accepte l’attelage improbable entre Willie et Leo qu’il semblait pourtant vouloir éviter à tout prix. Le ver étant dans le fruit le jeu de massacre peut commencer. Patiemment montée en mayonnaise par James Gray pendant le premier tiers du film où tous les ressorts complexes qui animent cette famille sont très finement exposés, la sauce est enfin prête à être servie pour lui permettre de montrer comment un simple pion placé au mauvais endroit peut conduire à faire vaciller toute une organisation patiemment construite avec ses codes et ses usages édictés autour de la corruption des édiles locaux. Il suffit dès lors d’une étincelle pour que les choses s’enclenchent. Ce sera la mort d’un gardien de dépôt au cours d’une expédition de sabotage organisée par Willie. Au fur et à mesure de l’avancée de l’enquête qui s’ensuit les masques tombent, laissant bien loin en arrière la cérémonie organisée pour le retour de Leo au bercail. Filmant la plupart des scènes en clair-obscur, James Gray nous rappelle que chacun n’est jamais vraiment celui qu’il laisse paraître. Pire encore, les liens du sang n’ont de valeur que jusqu’à un certain point et c’est sans doute un leurre que de vouloir absolument les sacraliser. James Gray comme dans son premier film mais de manière encore plus maîtrisée et subtile parvient à marier point de vue sociologique, étude de caractères et film noir. Le casting encore une fois très impressionnant est dirigé de la plus élégante des manières comme le signalera Faye Dunaway dans une interview. Mark Whalberg avec son visage encore poupon apporte toute l’ambiguïté utile à son personnage qui semble pouvoir partir dans toutes les directions pour se révéler rapidement incontrôlable. Mais c’est la prestation du grand James Caan disparu le 6 juillet 2022 qu’il convient de saluer. Tout en retenue, comme prisonnier des pratiques de corruption qui semblent consubstantielles à la vie des marchés publics, son personnage tente vainement de concilier un code d’honneur avec des pratiques mafieuses. Un très grand acteur dont on n’oubliera pas les rôles les plus marquants comme dans « Le parrain » de Francis Ford Coppola en 1972, « Le flambeur » de Karel Reisz en 1974, « Le solitaire » de Michael Mann en 1981 et bien sûr « Misery » de Rob Reiner en 1990. Bizarrement, le film a fait un flop au box-, condamnant James Gray à sept ans d’attente avant de pouvoir monter «La nuit nous appartient ». Au revoir Monsieur James Caan.
    cinono1
    cinono1

    253 abonnés 1 981 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 juin 2022
    Sur fonds de magouille autour des attributions des marchés ferroviaires, un film d'une grande ampleur ou James Gray développe ses thèmes fétiches, la cellule familiale rassurante et oppressante, la rédemption, la corruption le destin. James Gray est un cinéaste moral, au sens où ses films comportent des enjeux très forts. Son goût pour la tragédie le rapproche de son idole, Francis Coppola, son rythme lent lui permet de s'intéresser aux personnages et à leurs dilemmes intérieurs. Le côté parfois un peu simpliste du film offre une ligne claire et permet d'aller au fond des thèmes abordés. Le film s'avère profondément émouvant, aidés par des acteurs en grande forme, la plupart des relations entre les protagonistes sont passionnantes (Charlize Theron Joaquin Phoenix, ou la relation de Mark Wahlberg avec sa mère malade)
    JCADAM
    JCADAM

    3 abonnés 366 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 mars 2022
    Malgré qu'il y ait une bonne réalisation et des acteurs convaincants, le scénario est trop simple pour être intéressant, l' aurait dû être un peu plus approfondi. On a ici un polar basique sans surprises, cependant il se rattrape sur la noirceur et la tension mais cela ne suffit pas. L'histoire et l'ambiance sont similaires à "la nuit nous appartient" mais en moins bien car pas assez entraînant et trop mou.
    Charlotte28
    Charlotte28

    90 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 mars 2022
    Très classique tant dans sa forme que dans sa dimension tragique, le film au scénario attendu mais cohérent met en scène relations familiales ébréchées et contexte professionnel de magnats corrompus dans une réalisation sobre mais efficace mettant en lumière un casting impliqué. Cependant le rythme faiblit par endroits et surtout ce Yards pâtit de la comparaison avec l'excellent La Nuit nous Appartient. Dispensable car surpassé.
    Emmanuel Cockpit
    Emmanuel Cockpit

    37 abonnés 700 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 novembre 2021
    Un film mélancolique, comme souvent chez James Gray, avec une brochette d’acteurs qui délivrent leurs émotions sans concession, un sublime Joaquin Phoenix et un épatant Mark Wahlberg tout en retenue. Le réalisateur nous cisèle une société sans subterfuge, tranchante, farouche dans une lenteur qui exacerbe la tension. Les couleurs ocres accompagnent sa maîtrise du rythme qui nous accroche dès le début et résonne encore longtemps après la dernière image.
    Estonius
    Estonius

    2 448 abonnés 5 218 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 novembre 2021
    C'est vrai que quand on résume l'histoire, elle est toute simple, Et comme dans tous les cas d'histoire simple le réal à tendance à tirer à la ligne (d'autant que le film dure 2 heures) Nous déplorons donc quelques longueurs. Peu d'action, le film préférant s'attarder sur la personnalité des protagonistes. De ce point de vue les personnages sont bien écrits et excellemment interprétés, Wahlberg et Phoenix en tête, mais aussi James Caan, très à l'aise et Charlize Théron sémillante. Les thèmes abordés sont "classiques", la famille, la corruption, le destin et le film n'ennuie jamais. On déplorera quelques zones d'ombres (la mort de Charlize) et la fin manifestement bâclée. Un bon film !
    eXistenZ I.A
    eXistenZ I.A

    8 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 novembre 2021
    Que ce film est magnifique à tout point de vue. C'est à la fois brut et suspendu dans une profonde méditation mélancolique, une oeuvre qui aspire au bien mais dans lequel le mal fait évènement et n'est pas une profondeur de l'âme, mais juste une dérivation de la passion dans ses aspects les plus primitifs.
    bsalvert
    bsalvert

    317 abonnés 3 460 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 mai 2021
    un scénario trop simple pour être intéressant, on s'ennuie ferme durant toute la durée du film. Au moins on ne se sent jamais perdu.
    Le Video Club De Sabrina
    Le Video Club De Sabrina

    29 abonnés 350 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 mars 2021
    Léo sort de prison et rentre chez lui avec un seul but : ne plus fauter et rester désormais du bon côté.
    Il est recruté et trouve du boulot par son oncle Franck, patron de l’Electric Rail Corporation qui règne sur le métro dans le Queens.
    Léo va y retrouver Willie, son ami d’enfance, qui va l’initier aux habitudes de l’entreprise. Il va découvrir que derrière une façade respectable, les chantages, sabotages, violences et même parfois les meurtres sont monnaie courante. Léo, détenteur de ces lourds secrets familiaux, devient un homme en danger…
    Immense polar noir, The Yards est le second film du prodigieux James Gray après Little Odessa. Tragédie familiale sans coup de feu ou presque, le film est principalement axé sur les relations complexes entre les protagonistes. Mark Whalberg, tout en sobriété et Joaquin Phoenix, inquiétant et malsain dominent un casting qui comprend également Charlize Theron, James Caan et Faye Dunaway ! Du lourd pour un excellent polar qui a gagné au fil des ans son statut de film culte auprès des amateurs du genre !

    Pour encore plus de critiques et de bonne humeur, suivez-moi sur Facebook et Instagram : Le Vidéo club de Sabrina !
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 357 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 mars 2021
    En gros The Yards raconte l'histoire de Leo un jeune homme de la classe ouvrière qui rentre chez lui après un séjour en prison auprès de sa mère malade. Son meilleur ami Willie l'emmène dans l'entreprise de rames de métro de l'oncle de Leo où les choses ne sont pas exactement au dessus de tout soupçon. Leo s'implique davantage dans l'entreprise et les choses tournent mal. Mais en cours de route il y a cent autres sous intrigues. Malgré un grand casting et Mark Wahlberg cette histoire de corruption dans l'industrie ferroviaire de New York parvient à atteindre des niveaux d'ennui qui provoquent le coma. Ceux qui aiment leurs films incroyablement ennuyeux avec la plupart des acteurs (en particulier Joaquin Phoenix) qui marmonnent ou chuchotent leurs répliques se délecteront du film ennuyeux à mourir qu'il est. Wahlberg est aussi boisé qu'il l'est d'habitude et porte sa fameuse mauvaise coupe de cheveux et le reste des acteurs font de leur mieux avec le scénario. Mais soyons honnêtes avec un sujet aussi peu brillant ils n'ont jamais vraiment eu de chance de montrer leurs talents...
    Romain K
    Romain K

    46 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 février 2021
    Un Polar sous forme de tragédie grec, James Gray impose sa patte, que dire de joaquin Phoenix déjà un génie. Le seul reproche que l'on peut faire et un manque de rythme à certains moments.
    Mais les émotions de cette famille qui impose sont incroyables.
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