Derniers Avis sur Le Book Club

J'ai adorée cette comédie !!!
Toute 4 les elle formes des amis souder plus que jamais et ça c'est vraiment super.
Et puis jane fonda n'est pas mis en avant plus que les autres (comme parfois il on tendance a mettre la plus sexy ou la plus connu en avant)

Bref super film a regarder avec des personne agé ou non....
mais surtout pas a regarder en famille !
et si votre mamie et pas trop agé je vous conseille pas de le regarder avec elle parce quelle pourrais aussi etre votre maman et vous parler de sexuellité comme si on parler de cookie et ça peut etre enbarassant 😂😂

Granny just want to have fun. Aux premiers abords, on penserait plutôt à un téléfilm sentimental (et tourné vers un public féminin d'un âge médian) de l'après-midi, mais si l'on n'en attend pas plus, Le Book Club est réussi. Les mamies ont aussi une vie sexuelle, et semblent être l'unique lectorat à apprécier Les Cinquante Nuances de Grey (on ne savait pas quoi offrir à mémé ce Noël...), c'est le rêve idéaliste que veut nous vendre cette petite comédie bienpensante, mais elle nous le vend avec tant de sympathie et d'humour décomplexé qu'on se prend au jeu. On sourit devant cette mamie que ses filles prennent pour une gaga complète (ce qui l'agace énormément), devant celle qui ne sait pas comment raviver la "flamme" de son époux (ça n'est pas faute de lui faire du pied, dans une séquence-bricolage très drôle), celle qui créé un compte à la photo de profil douteuse sur un réseau de rencontres, celle qui retrouve par hasard son amour de jeunesse et ne sait pas qu'en faire... Des bonnes idées, Le Book Club n'en manque pas, et chaque personnage, tant les mamies que leur prétendant, est bien construit et intéressant à suivre dans son évolution. On soupire simplement devant le côté très planplan du scénario (même les mamies ont plus de dynamisme que ce rythme qui traîne les savates) et la réalisation qui fait très "téléfilm de l'après-midi" (on ne voit pas trop ce que ce film gagne à être vu sur grand écran, un format télé aurait suffit). Mais comment résister à ce beau casting en sweat-homewear qui nous donne presque envie de lire Les Cinquante Nuances de Grey (on verra, si mémé veut bien lâcher le livre), et à chaque petite mamie tout à fait adorable...

Book Club met en vedette quatre actrices Diane Keaton, Candice Bergen, Jane Fonda et Mary Steenburgen. Steenburgen ressemble a toutes les femmes matures que vous pourriez rencontrer dans la vraie vie. Diane Keaton s'accroche à sa routine de style Annie Hall. Jane Fonda à clairement signé un pacte avec le diable. Ses divers régimes de beauté qui ont varié au fil des ans l'on gardé vraiment jeune. Ses yeux sont immenses bleus et clairs, son visage est lisse, son corps vêtu de vêtements moulants est bien fait. Jane Fonda est aussi une grande actrice. Elle apporte tout avec son jeu dans ce petit film sans saveur. Tout sur ce film est faux en commençant par l'histoire principale. Ces quatre femmes sont riches, heureuses, prospères, elles vivent dans des maisons parfaites, portent des vêtements parfaits et ont été amies toute leur vie. Elles se rencontrent régulièrement et se soutiennent gentiment. Si vous pouvez trouver quatre de ces femmes et une telle amitié dans la vraie vie, je reprendrai cette note. Les amitiés avec d'autres femmes sont précieuses et rares et elles ne durent pas comme ça. Lorsque vous avez eu une mauvaise journée vous ne pouvez pas téléphoner à trois personnes que vous avez connues toute votre vie et leur faire abandonner tout ce qu'elles font pour qu'elles viennent chez vous et vous tenir la main. Ce film est prévisible, embarrassant et superficiel. C'est une mauvaise utilisation des talents de bonnes actrices. Mais, je suppose qu'il y a un public qui aime les délires superficiels...

Il faut vraiment les aimer ces genres de films. Il y a de très grands acteurs et actrices, mais bon ils ont tous passé l'âge de la retraite. Ils sont proche de quatre vingt ans et tentent de fabriquer une vie. C'est sympa sans plus. Pas encore de mon âge.

Ce film est une comédie assez sympathique. Certes, ce n’est pas celle de l’année mais au vue des rires de la salle, elle a réussi à atteindre sa cible : un public féminin dépassant la quarantaine. Niveau construction, on aura du classique avec quatre protagonistes qui ont chacune une histoire bien à elles (la divorcée, la célibataire endurcie, la veuve, la mariée dont le mariage bat de l’aile) et la lecture de ce livre « érotique » sera le fil conducteur. Après, on ne parle pas trop du livre, peut-être une question de droit d’auteur. Il est cependant dommage que chaque personnage ne soit pas au même niveau. Tout a été misé sur Diane Keaton ce qui a tendance à un peu voler la vedette aux autres. Les personnages de Candice Bergen et Mary Steenburgen ont clairement été moins travaillé ce qui au final rend le film inconstant. En tenant son pari de surfer sur les clubs de lecteur et l’amour chez les seniors, LE BOOK CLUB est donc on peut dire une petite réussite.

Joli film. J'étais heureuse de revoir jouer d'excellentes comédiennes dont leurs absences dans les salles de cinéma fût trop longues.
Je salue la performance de Jane Fonda vers la fin du film. Elle a su donner l'effet surprise de toute la fragilité de son personnage.

"Book Club" n’est rien d’autre qu’une publicité pour « 50 nuances de Grey ». Fallait-il y voir autre chose ? Suis-je passé à côté d'une réflexion plus essentielle ? C’est bon, pas la peine de se vexer, cette chronique de femmes d’un certain âge, pour rester élégant, est sympathique mais tellement prévisible. Comme j’aime les acteurs, je suis ravi pour Jane Fonda, Diane Keaton, Mary Steenburgen et Candice Bergen de continuer à pratiquer leur métier si tant est c'est un métier. C'est plutôt une joie. Jouer. Tout est dans le verbe. Les acteurs ont la chance, le bonheur de jouer sans limite d’âge, sans penser aux points retraite. Ici, elles donnent de l’espoir à toutes les femmes âgées : l’amour et le sexe n’ont pas d’âge. Mais est-il vraiment besoin de lire « 50 nuances de Grey » pour s’en persuader ? A voir en V.O…

On est en droit de se demander qui ces poupées du troisième âge sont censées représenter, tant le film s’efforce d’en gommer les aspérités donc les preuves de leur humanité. Richissimes, oisives, liftées, les quatre mamies pensent porter les revendications libertaires de toute une classe d’âge injustement privée de leur droit au plaisir. En ce sens, Le Book Club s’inscrit dans ce genre très particulier, et tout récent : le film de stars vieillissantes. Le cinéma en viatique, pourquoi pas. Les pépés voleurs de banques sont à la mode, pourquoi pas les mémés sous perfusion à Christian Grey ? Pour la simple et bonne raison que la démarche adoptée par Le Book Club prône un reniement de soi au profit de la médiocrité actuelle, sans prise aucune avec la sagesse acquise tout au long d’une vie. L’héritage culturel, idéologique, sexuel (si l’on y tient) est évacué au profit d’une dénaturation 2.0 de la femme mûre américaine qui force les modèles en vogue aujourd’hui pour s’y conformer, telle une vulgaire copie. Le quatuor ne dispose d’aucune véritable profondeur exception faite de la fréquence et de la forme de leurs ébats : pas d’histoire personnelle, pas d’expérience individuelle. La femme est, ici, interchangeable, à l’image des livres qu’elles font circuler. Surtout, le film repose sur une hypocrisie assez dégoûtante : proclamer la liberté de la vieillesse tout en veillant à l’enfermer dans sa classe d’âge et dans sa caste. La femme au foyer est devenue grand-mère au foyer, et les hommes qu’elle fréquente partagent son âge, son statut social, sa vision des choses. L’homogamie avant tout ! Côté mise en scène, c’est Les Feux de l’amour : une lumière extra-lumineuse enveloppe le film d’une texture très étrange, à mi-chemin entre le voile et la crème antirides. Tout est fait pour lisser, peaufiner, normaliser. Le Book Club, publicité pour un institut de beauté hors de prix où, en guise de journaux dans la salle d’attente, sont offerts à la lecture les trois tomes de la saga Fifty Shades. On prend ses jambes à son coup et on sort ! Dans l’espoir de vieillir pour, ainsi, ne jamais ressembler aux porcelaines hideuses de ce film.

A part le fait que tous les acteurs n'ont fait que boire durant le film, c'était plutôt sympa. On peut aussi voir les ravages de la chirurgie esthétique surtout sur Mary Steenburgen dont la bouche ressemble à celle d'un clown. Ils auraient pu prendre une autre actrice.

J'ai vu un film... une très belle comédie nostalgique, avec un casting époustouflant. C'est un très beau film nostalgique, plein de moments tendres et gentils. On y voit, de manière primesautière le rapport des personnes âgées à l'amour, à la famille, à la vie... C'est un club de lecture de "presque" mamies qui découvre la passion torride à travers le dernier Best-seller Sexy à la mode, à savoir "50 nuances de gris". Le casting féminin, excusez du peu est composé de Jane Fonda, Diane Keaton, Candice Bergen et de Mary Steeburgen, quant au casting masculin, on a le plaisir de retrouver à l'écran Andy Garcia et Don Johnson... Et ce que ce film nous dit, c'est qu'il n'y a carrément pas d'âge pour aimer. C'est presque "Sex'àgénaires in the city"... C'est un film touchant, sans grande prétentions, sans grandes ambitions, mais avec un gros coeur...

Diane Keaton, Jane Fonda, Candice Bergen et Mary Steenburgen ont entre 65 et 80 ans. Dans « Le Book Club » elles sont amies et ont chacune une carrière de renom mais dont la vie amoureuse échoue un peu dans l’abandon. Elles se retrouvent régulièrement pour leur club de lecture. Un jour, l’une d’entre elles propose de découvrir le roman « 50 nuances de Grey ». Malgré les réticences de certaines, le livre va faire écho à leurs vies non palpitantes. « Le Book Club » est un film totalement prévisible mais qui fait du bien. Les quatre actrices prouvent qu’elles valent encore beaucoup en tant que femmes et délivrent un message d’espoir à celles de leur âge. Une comédie romantique légère bien ciblée.
D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com

Comment faire un navet en utilisant de grands noms du cinema.
Ce film qui pourrait etre un hommage a 4 grandes actrices tourne au desastre irritant.
Le scenario est debile. Les situations idiotes succedent aux situations inexplicables: spoiler: comme le richissime Andy Garcia qui a ses heures perdues sans doute est pilote de ligne

Passez votre chemin et allez donc regarder l'Etudiante et Monsieur Henri qui presente une vision si intelligente de la vieillesse.

je pense que ma mère est plus le public visé que moi. rien a redire sur les acteurs, la realisation n'apporte rien de particulier et l'histoire peut surement intéresser les plus de 50 ans mais je n'ai été sensible ni à l'intrigue ni à l'humour du film.

L’amour n’a pas d’âge. Un feel good movie pour filles (mais pas que...) rafraîchissant, emmené par un séduisant quatuor réunissant Diane Keaton, Jane Fonda, Candice Bergen et Mary Steenburgen. Bien qu’un peu trop convenu, voilà une comédie made in USA drôle et sympa devant laquelle on passe un bon moment. A noter également les bonnes et touchantes prestations d’Andy Garcia et de Don Johnson.

Comédie romantique avec des actrices de légendes, toujours pleine de charme malgré leurs âge. La romance doit durer toute la vie. Lorsque l'on voit les silhouettes des 4 actrices, surtout Jane Fonda (80 ans !), on comprend que la jeunesse est réellement un état d'esprit. Légèrement pompeux au démarrage, les actrices m'ont fait accroché. Y compris les quelques acteurs romantiques ou qui sont tombés dans la routine et dont il faut rallumer la flamme amoureuse. Agréable, comme film.