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Heloise
8 critiques
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2,5
Publiée le 4 avril 2024
Une histoire névrotique. Les images sont belles. Cependant je déplore une inexistence des personnages. Aucun ne m’aura marqué par son jeu si ce n’est Virginie Efira et surtout Sandra Hüller, que je découvre
Lent, prétentieux, avec des acteurs à peine attachants, et même plutôt agaçant; L'avantage du film est de ne pas être trop long. Virginie Efira a fait de bien meilleur film. Le film dispensable de sa filmo
Un film que j'ai trouvé globalement moyen la réalisation est ok comme les acteurs mais l'histoire vraiment moyenne et abstraite je m'attendais à quelque chose de surprenant a la fin mais non même pas cela reste un film assez original qui pourra plaire mais moi je n'ai pas accroché
Je n’ai pas apprécié les scènes nues bien qu’elles fassent ressortir la folie passionnelle des personnages, j’aurais préféré en voir moins, ou bien de façon plus subjective. Mis à part cela j’ai trouvé ce film très intéressant, le jeu d’actrice d’Adel Exarchopoulos toujours aussi excellent et pur. La façon dont l’histoire est racontée, morcelée de flash back, amène la confusion du spectateur et reflète l’état mental des personnages. Cette mise en abîme de la psychanalyse spoiler: (la psy qui elle même est représentée avec ses faiblesses, son propre suivis psy, ses addictions, ses problèmes familiaux etc ….), ses jeux de confiance/trahison entre les personnages, le reel mêlé à la fiction ce film ne laisse pas indifférent. Des émotions fortes qui s’entremêlent, ce film donne envie d’hurler ce qui se tapie au fond de nous, une part de noirceur et de désir qui brise le masque de la bonne figure. Bravo
La vie d'une psy n'est pas toujours simple ni facile. Mais là, c'est une sorte de caricature d'un état de folie dont on sent des liens avec la sœur manipulatrice et perverse. Le jeu de la perversion est aussi visible chez l'a psy, et personnellement je ne souhaiterais pas faire face à ce genre de personne. Je crois que la médecine a quand même des gardes-fous pour prévenir de ces attitudes vis-à-vis des patients et de la profession. Finalement, qu'est-ce que recherche l'auteur ?
Accompagné d'un beau casting, Sybil de Justine Triet est un film plutôt réussi dans l'ensemble ! Porté de nouveau Virginie Efira, elle joue le personnage de Sybil auquel c est un personnage très complexe. Entre travail et ecrivain, elle va se perdre en cours de route. C est la force du film : Le fait que la réalisatrice brise de nouveau les règles en retournant plusieurs fois la situation. C est a dire de surprendre le spectateur par le biais de l'évolution du personnage.
J'ai beaucoup aimé les autres personnages que cela soit les personnages de Adele Exarchopoulos, de Gaspard Ulliel ainsi que Sandra Huller. Ces personnages amplifient l'intrigue et rend le personnage de Sybil encore plus perdue
Je dois dire que les personnages sont vraiment bien écrits
C est vraiment intrigant et malgré un léger problème de montage où le film peut nous perdre dans la confusion ainsi qu'un rythme assez inégale, Sibyl est un film plutôt correcte, remplissant le cahier des charges d'un long métrage. Une bonne histoire avec de bons acteurs/actrices ainsi qu'une bonne réalisation
La palme d'or attribuée à Julie Triet ( Cannes 2023) conduit à revenir sur son opus précédent "Sybil" qui fût aussi présenté en CO à Cannes 2019 mais reparti cette fois la corbeille vide.
Sibyl psychanalyste qui va mal après avoir connu plusieurs événements personnels qui la minent, réduit de manière drastique son activité afin de se revenir à sa vocation première : l'écriture.
Une nouvelle patiente en grand désarroi se présente. Sybil face à la proximité entre les problèmes de la malade et les siens, bascule dans une projection et perd pieds.
Très bien reçu par la critique ( certains y voyaient même le meilleur film de la sélection officielle, d'autres comparaient Efira à la Gena Rowlands de Cassavetes...) et pas très bien par le public.
Certes, il faut le reconnaître, "Sybil" ( le nom du personnage renvoit à celui de la mythologie - La Sybille est celle qui voit l'avenir et est ainsi capable de prophétie) n'est pas dépourvue d'ambition.
Montrer les failles d'un être pourtant armé pour faire face aux difficultés existentielle et qui s'effondre malgré tout, me semble être une idée inspirante pour symboliser la tragédie de la vie.
Malheureusement, si la première partie promet le meilleur, la seconde qui commence aux abords de l'île de Stromboli ( le lieu évoque bien-sûr l'opus éponyme de Rossellini, " l'Avventura" de son compatriote Antonioni) est- à mes yeux- un complet ratage.
Le scénario part alors, peu à peu, dans tous les sens, au risque de l'incrédulité, de l'incohérence totale, presque du ridicule et le troisième opus de la future récipiendaire de la palme d'or coule ( comme son personnage) corps et biens.
La direction des acteurs est elle aussi problématique ( Efira, Exarchopoulos n'ont jamais été, de mon point de vue, aussi mal dirigées), les scènes de sexe qui se veulent démonstratives ( la cinéaste a t elle pensé à " le dernier tango à Paris" de Bertolucci ? ne cassent pas trois pattes à un canard ) même s'il faut reconnaître une pointe d'originalité dans la mise en scène.
Seule Andréa Hueller et le compagnon à la ville de la cinéaste Arthur Hariri ( on les reverra tous deux au casting de "Anatomie d'une chute") tiennent la route.
Le déséquilibre est tel entre les parties qu'on invitera tout de même le spectateur à voir le film, mais essentiellement ( selon moi) pour les premières quarante cinq minutes.
Sibyl est une très bonne surprise ; sans avoir regardé de bande-annonce ni de synopsis je ne savais à quoi m’attendre. Une histoire solide menée par une excellente Virginie Efira. Adèle Exarchopoulos dans un rôle plus triste que de coutume montre également un personnage intéressant ; et que dire de Sandra Huller qui représente certainement un peu la réalisatrice qu’est Justine Triet. La musique est un des gros points forts de ce film, répétitive sans être redondante. Elle donne une vraie identité au long-métrage. J’aime également beaucoup le fait que les rôles peuvent être inversés sans que cela soit explicitement expliqué. Les détails avec le mari, le fils, ou les patients sont aussi ce qui fait la réussite de Sibyl.
Film un peu décousu avec beaucoup de personnages mais ils ne sont pas assez travaillés en profondeur donc tout reste assez superficiel. Se regarde quand même bien cependant. Il ne fallait pas faire plus long. Bémol sur la musique que je n'ai pas aimé dans tout le film.
film compliqué, tortueux, des prises de tête intellectuelles - de la psychanalyse mal comprise - des rapports humains superficiels, compliqués, qu'on ne rencontre jamais dans la vraie vie - film même pas sauvé par les acteurs, qui jouent faux, mais impossible de faire autrement avec un scénario aussi creux
un film sans grand intérêt, on est baladé sans vraiment comprendre où ça veut nous amener. Nous pouvons quand même souligner la performance des acteurs.
Dans "Sibyl", Justine Triet est de nouveau en collaboration avec Virginie Efira après "Victoria". Le reste du casting est également XXL avec Adèle Exarchopoulos, Gaspard Ulliel ou encore Sandra Hüller. Et le film démarrait assez bien, avec une psychologue comme personnage principal qui décide d'écrire sur la vie d'une de ses patientes, actrice qui a une relation avec un autre acteur sur le tournage de son film. L'intrigue est assez déroutante, avec des personnages intéressants dont on suit l'histoire avec intérêt grâce à des personnages secondaires donnant des détails pertinents. Puis le film nous embarque sur Stromboli, sur le tournage du film, et là tout devient un peu plus brouillon, avec des péripéties peu crédibles. Le film prend une tournure un peu prétentieuse assez déplaisante. Reste toutefois que "Sibyl" propose une panoplie de personnages bien travaillés et des séquences de dialogues très bien écrite. Un bon film qui aurait sans aucun doute pu viser mieux s'il ne s'était pas éparpillé dans sa deuxième partie.
A la lumière des commentaires dithyrambiques des critiques , j’en conclus que je ne suis pas une intellectuelle… J’ai eu un mal fou à entrer dans cette narration décousue qui même présent et passé, réalité et fiction. Pour tout dire ce qui relève de la réalité est si grotesque que j ai cru qu’il s agissait du récit fictif que s inventait cette psy reconvertie en écrivain. Que nenni. Elle quitte donc son cabinet et se retrouve sur un tournage de film à coacher sa « patiente » …. Honnêtement….. hormis la partition impeccable de V Effira, aucune émotion n’émane de ce récit décousu et totalement surréaliste. On n y croit pas une minute …
Sibyl c'est Virginie Efira, époustouflante femme de son époque : elle paraît être une psy d'expérience, un roc, elle est en fait dévorée par la nostalgie d'une histoire d'amour, l'alcoolisme en héritage, l'obsession poir une patiente instable (car happée par une liaison toxique), et des choix égoïstes irrationnels. Le film ressemble à un kaléidoscope avec ses différents protagonistes, lieux et époques et pourtant il rrsre assez lisible, il agace par l'excès de ses personnages et leurs turpitudes egocentriques mais laisse sur une dernière scène d'une finesse absolue, comme un constat implacable de l'égoïsme de Sibyl. Le casting et la réalisation sont aussi les points forts de ce film sur lers failles humaines.
Je me suis ennuyée pendant tout le film qui ne procure aucune émotion les acteurs ne sont absolument pas crédibles .... le scénario creux Quant à la prise de son, elle est tout simplement catastrophique bref je ne comprends pas les bonnes critiques