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Synopsis
Laura et Rey vivent dans une maison au bord de la mer. Il est cinéaste, elle crée des « performances » dont elle est l’actrice. Rey meurt —accident, suicide ?—, la laissant seule dans cette maison. Mais bientôt, seule, elle ne l’est plus. Quelqu’un est là, c’est Rey, par et pour elle, comme un rêve plus long que la nuit, pour qu’elle survive.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Faut-il avoir vécu un " processus " de deuil de quelqu'un de très proche pour saisir le propos du film ?
Bonne question...
Comment un film, qui, par définition, nous place dans la peau d'un spectateur peut-il réussir à nous faire vivre du dedans ces moments particuliers.
Même un livre ne peut pas réellement et complètement se rapprocher du ressenti profond de la personne qui " subit " le deuil de l'autre, comment un film pourrait-il y ...
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traversay1
2 556 abonnés
4 400 critiques
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2,0
Publiée le 7 décembre 2016
La conception de A jamais est plutôt inhabituelle avec l'écriture du scénario (tiré d'un roman de DeLillo) par la comédienne principale du film, débutante dans les deux exercices. Par ailleurs, le film a été tourné comme en urgence, en 4 semaines au Portugal. Cela aurait pu donner un vrai caractère à A jamais qui, pourtant, en manque terriblement. Cette histoire de deuil, de fantôme et de maison plus ou moins hantée est hélas très ...
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velocio
990 abonnés
2 886 critiques
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1,0
Publiée le 1 décembre 2016
C’est le producteur portugais Paulo Branco qui a proposé à Benoît Jacquot de s’attaquer à l’adaptation cinématographique du roman Body Art de l’écrivain américain Don DeLillo. A partir de ce roman sur le deuil, la comédienne Julia Roy a écrit le scénario du film avant d’en devenir l’actrice principale auprès de Mathieu Amalric et de Jeanne Balibar. Depuis 11 ans, le réalisateur de cinéma Jacques Rey vivait avec Isabelle, ...
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Jonathan M
103 abonnés
1 528 critiques
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2,5
Publiée le 24 octobre 2016
Benoît Jacquot nous l'a joue drame intimiste pour son cru 2016. Il prévient d'avance, ce ne sera pas un film qui nous fera danser à la sortie. Effectivement. Le corps juvénile de la gracieuse Julia Roy conjugué au regard troublant d'un Amalric tout puissant, je suis complètement fan de la première partie. La composition musicale est le troisième personnage principal, soumis au pétaradant bruit de moteur de la Yamaha. On comprends pas ...
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À Jamais a été présenté lors de deux festivals internationaux prestigieux : la Mostra de Venise et le Festival de Toronto.
Adaptation
C'est le producteur Paulo Branco qui a suggéré à Benoît Jacquot d'adapter The Body Artist, le roman de Don DeLillo. "Je ne suis pas familier des livres de Don DeLillo (ni de la littérature actuelle en générale) mais j’ai été frappé immédiatement par la force du récit, des émotions qu’il mobilise —qui, pour le coup, m’ont paru familières", confie le réalisateur.
Partenariat étonnant
La rencontre et le début de la collaboration entre Benoît Jacquot et Julia Roy sont peu communs. Le réalisateur raconte : "C’est elle qui m’a choisi ! Elle est une jeune actrice moitié autrichienne-moitié française, elle vivait à Vienne, étudiant et jouant, elle a décidé de venir à Paris par affinité avec le cinéma qui se fait en France. Elle s’est débrouillée pour le rencontrer et j’ai vite senti chez elle une force, une vérité rare. Je lui ai p
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Le film est déconcertant autant que l'architecture intérieure de la villa qui en est le décor principal. On accepte ou non de se laisser envoûter par cette plongée dans le malaise d'un auteur bégayant des bribes d'idées, abandonné à des pulsions contradictoires dans sa vie amoureuse, puis dans le deuil volontairement - semble-t-il - schizophrénique de la jeune femme amoureuse. Tenter de nous faire vivre de l'intérieur son immersion dans l'hallucination était une gageure qui ne pouvait être réalisée qu'avec notre complicité. La beauté des images y aide bien. Je comprends qu'on puisse rester dehors. Moi, j'ai accepté d'entrer et je ne me suis pas ennuyé.
Manon m.
j'ai trouvée que c'était un film pauvre les dialogues casi inexistant mou bref je me suis fais chiée
belitre
Il faudrait expliquer au cinéaste français qu’ils ont le droit de parler d’autre chose que du cinéma.