Partager sur WhatsAppPartager sur FacebookPartager sur Twitter
Synopsis
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
À Los Angeles, Sam, 33 ans, sans emploi, rêve de célébrité. Lorsque Sarah, une jeune et énigmatique voisine, se volatilise brusquement, Sam se lance à sa recherche et entreprend alors une enquête obsessionnelle surréaliste à travers la ville. Elle le fera plonger jusque dans les profondeurs les plus ténébreuses de la Cité des Anges, où il devra élucider disparitions et meurtres mystérieux sur fond de scandales et de conspirations.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
« Under The Silver Lake » après le très bon « It Follows » du même réalisateur, n’aura pas cette fois déclenché le même enthousiasme et de loin...
Comme quoi en y allant confiant et les yeux fermés, la déception est franchement de mise !
Et pourtant, tout contribuait à en faire un excellent cru, rien que par cet univers visuel qui n’a rien à envier à celui de « Mulholland Drive » de David Lynch, ou encore par cette ...
Lire plus
dominique P.
728 abonnés
2 027 critiques
Suivre son activité
1,0
Publiée le 11 août 2018
J'étais plutôt impatiente de voir ce film car l'histoire avait l'air bien mystérieuse.
La première demi-heure est géniale j'ai trouvé puis ensuite tout se gâte complètement et cela part dans le n'importe quoi, tout cela pour soit disant résoudre le mystère de la disparition d'une femme.
Le héros principal se retrouve dans des situations absurdes.
Voilà tout à fait le style de film prétentieux, vain, sans intérêt.
De surcroît, il ...
Lire plus
Laurent C.
225 abonnés
1 133 critiques
Suivre son activité
3,0
Publiée le 20 août 2018
On connaissait du réalisateur le formidable « It follows », filmé tout en tension et en gravité. Cette fois, David Robert Mitchell choisit un long trop long-métrage pour raconter les errements oniriques et policiers d’une bande de jeunes-gens à Hollywood, prêts à tous les renoncements pour accéder au graal du star-système américain.
L’idée est très intéressante. A la façon d’un David Lynch, le réalisateur nous introduit ...
Lire plus
nicothrash60
224 abonnés
2 197 critiques
Suivre son activité
2,5
Publiée le 14 août 2018
Mais quelle étrange bobine ! David Robert Mitchell qui m'avait enfin surpris dans le domaine de l'épouvante avec son succulent It Follows nous propose quatre années plus tard une plongée hallucinée dans un Los Angeles hypnotique entièrement dédié à la cause de la Pop Culture. Le chemin tortueux que va emprunter Andrew Garfield pour retrouver une jeune inconnue, disparue presque immédiatement après leur rencontre, risque d'en laisser ...
Lire plus
C'est l'actrice Dakota Johnson qui devait à l'origine tenir le rôle féminin principal mais elle a dû laisser sa place à Riley Keough pour des raisons d'emploi du temps.
Pop Culture
Selon son réalisateur, Under The Silver Lake traite de la pop culture, qui est désormais la seule culture dans laquelle nous baignons tous, et du sens caché de chaque objet qui la compose : "certaines choses se passent à notre insu, sous la surface de l’eau. Le film raconte l’histoire d’un jeune homme insatisfait qui retient son souffle pour aller nager dans ces eaux sombres".
Hommage posthume
Les scènes de piscine avec Riley Keough sont un clin d'oeil aux séquences de baignade de Marilyn Monroe dans Something's Got to Give, film inachevé en raison du décès de l'actrice qui survient après un tournage chaotique dont elle fut renvoyée à cause de ses nombreuses absences.
Assez perplexe, c'est juste un putois qui pète pendant 2h
AbsoluteRH
Les errances hallucinées d'un paumé dans un LA semi-dystopique en mode Alice au pays des merveilles sombre et contemporain. Une très bonne réalisation (superbe photo, couleur, musique, mise en scène impeccable) et un Andrew Garfield impeccable dans une ambiance soignée et esthétique, qui n'est pas sans emprunter à Mulholand Drive de Lynch ou Map to the stars de Cronemberg dans sa fable satirique d'un LA ravagé par le vice, mais dont le récit, tout comme son protagoniste, semble errer à l'aveugle, sans trop savoir où aller. Pas mauvais au demeurant, mais un récit beaucoup trop flou pour réellement y prêter de l'attention. Vaut le coup d’œil, ne serait-ce que par sa mise en scène, mais un brin trop creux pour éveiller davantage d'intérêt.
Selene A
Le debut était sympathique mais quand c'est partit dans des histoires completement fumée j'ai juste eu mal a la tete j'ai certainement pas compris mais c'était beaucoup trop long et ça devenait juste insupportable...
Amaury G.
Une déambulation à travers un L.A décalé et absurde, le réal offre une critique sur le monde hollywoodien et ses dérives, le tout saupoudré de lutte des classes et de complot. Le genre de film à voir plusieurs fois pour comprendre tout les éléments cachés ou non. J'ai trouvé le(s) message(s) et sens cachés du film assez évident et je ne comprend pas que certaines personnes n'ait pas compris...Néanmoins j'ai quand même trouver le film un poil long, la mise en scène est bonne mais reste un peu plate quand même, juste deux-trois moments vraiment cool.
Amaury G.
Qu'il n'y a rien à comprendre.
Mehd .
Quand elle et lui ne comprennent pas ce que dit le perroquet ? Qu'est-ce que tu y comprends ?
Ner0d3
Beaucoup de commentaires d'incompréhension. Si vous n'avez pas compris que le film est une satire d'Hollywood, plus globalement de la culture de masse, plus globalement de la société de consommation et encore plus globalement du sens de la vie, c'est quand même compliqué là...Pour le reste et ceux qui veulent une interprétations rationnelles de tout ce qu'il s'y passe, je vous rappelle que notre héro passe 95% du film défoncé. Mais surtout, je vous renvoie à la scène de fin avec la dame au perroquet qui résume ce que le film veut faire passer comme message. Message qui s'applique au film lui même.
Mehd .
Incompréhensible mais quand même quel film !
Lewis M.
La Schizophrénie
JL b
Aïe ! Cette page est introuvable.
Ebony Maw
Impossible de s'en lasser, un chef d'oeuvre !
Naughty Dog
non chef-d'oeuvre mec ^^
thomas G.
Bordel il m'a cassé le crane ce film. Il faut quel genre de qi pour comprendre ce truc ? Y'a t il seulement quelque chose a comprendre ?
P U N I S H E R
Ah mais parce tu crois que j’ai une photo de Punisher que je connais que ça ?Comme si maintenant le fait d’aimer des œuvres plus légères nous empêcherait d’aimé des œuvres plus profondes et travaillées... c’est n’importe quoi...Autant je peux regarder Punisher autant je peux regarder Kubrick. Autant je peux regarder Daredevil autant je peux regarder Hitchcock.Regarder Punisher ne m’empêche pas de connaître des chef-d’œuvre comme Chinatown,Fenêtre sur cour,La portes du Paradis même les Tarkovski.Connaître et apprécier pleinement le bon cinéma n’empêche pas de se diversifier et d’apprécier des œuvres légères.Bref tu as 1 commentaire je crois savoir qui tu es réellement en se cachant derrière un pseudo,inventer un compte pour me répondre ainsi juste pour moi prouve que ton but n’est pas de converser sur le cinéma.Je t’ai fait l’honneur de te donner une longue réponse avec l’espoir que tu y trouve quelque enseignement ^^sur ce...
Alexnes
Incompréhensible. Je ne comprends ni l' intérêt ni le message que l'on souhaite faire passer. Et pourtant il est bien noté?!
Henri M
Après une première demi heure qui partait plutôt bien, j'ai trouvé que le film s'enlisait relativement vite . Tout d'abord, le réalisateur a voulu introduire dans son film des plages humoristiques, parfois surprenantes et inattendues. Si cela peut être parfois drôle, j'ai trouvé que cela altérait beaucoup la densité et le sérieux d'un film qui se dilue dans la pose d'un héros, non d'un anti héros, peu sympathique, glandeur à la petite semaine, mauvais payeur, qui va trouver un nouveau sens à sa vie en essayant d'élucider un mystère autour d'un message caché (message sataniste?) qu'il croit lié à la disparition d'une jeune femme avec qui il a bu un verre en regardant Comment épouser un millionnaire?.Il y a quelque chose qu'il faudrait que l'on mexplique: pourquoi Sam déploie t-il autant de ténacité alors que le même gars fantasme sur la quinqua topless du balcon d'en face qui nettoie ses vitres et profite quand il veut du corps d'une autre jeune femme disponible qui lui apporte des sushis. Tous les spectateurs auront d'ailleurs remarqué que tout un essaim de jolies jeunes femmes gravitait en permanence autour de lui...à sa place j'aurais très vite oublié Sarah.L'autre problème majeur du film c'est sa durée (2h20) alors qu'il ne présente selon moi, au final, aucun enjeu sérieux.Le film baigne en permanence dans une espèce de paranoia, tous les personnages se sentent suivis voire en danger.Le problème, c'est qu'indépendamment de l'obsession de Sam, le film déroule des dialogues interminables, montre beaucoup de personnages sans réel intérêt...Personnellement, je ne suis ni amateur de sudoku ni de mots croisés et n'étant pas sous psychotropes, j'ai rapidement trouvé la quête de Sam totalement vaine. Dés lors, l'échec du film était pour moi patent puisque la destinée du personnage principal et des autres protagonistes m'était devenu indifférente.Sam, le glandeur inconséquentLe rôle de Sam est tenu par Andrew Garfield (Spiderman...). Le réalisateur se livre à une véritable radiographie de son personnage principal dont il s'est évertué à filmer le visage en gros plan : un physique moyen (gros nez, grande bouche de travers, sourire niais...) très certainement pour que le commun des mortels s'y retrouve. Sam se masturbe beaucoup et a énormément d'hallucinations dans lesquelles il voit de jolies filles, parfois nues, aboyer.Il évolue dans un univers difficile à situer dans le temps: on y trouve des téléphones portables dernière génération, des magnétoscopes VHS et Supermario fait toujours fureur.Pop cultureLe propos du film est apparemment de rendre hommage à la pop culture qui nous est ici montrée comme quelque chose d'universel, de codé par une élite et en même temps, d'assez peu original, si on se réfère à la discussion de Sam et d'un vieillard fripé, propriétaire d'un superbe manoir qui se lance dans un interminable concerto au piano interrompu à coup de guitare Fender....Images sublimes....ou pasLe réalisateur rend hommage à la mythique ville de Los Angeles et à son quartier de Silver Lake, en la filmant de fort belle manière. Cela contraste d'ailleurs beaucoup avec les plans gore (tueur de chiens) ou scatologiques (un protagoniste en peignoir sur les toilettes en pleine défécation interrompu manu militari par Sam) qu'il nous livre ça et là sans crier gare.L'ombre de Mullholand drive?Beaucoup ont vu dans Under the silver lake un hommage au cinéma de David Lynch. J'ai trouvé que l'actrice interprétant Sarah (Riley Keough) avait quelque chose dans le visage qui rappelait Sheryl Lee, Laura Palmer dans Twin Peaks. Ce n'est certainement pas un hasard.S'agissant de la comparaison avec Mullholand Drive, le film de Lynch aussi mystérieux et métaphysiquement inquiétant qu'il soit était fort différent d'Under the Silver Lake, à la fois film patchwork et casse tête chinois foutraque.Si vous êtes allé au bout de cette critique qui témoigne de mon scepticisme et que vous n'avez pas vu le film, à vous de voir...et je ne vous ai pas parlé des putois, de la femme chouette tueuse, des tunnels, de Playboy, du roi SDF et de la jolie jeune fille aux ballons (...).L'affiche du film est superbe et sa B.O pas mal du tout.
The Last Action Zero
Je ne suis pas sur que tout soit complétement maitrisé et logique. Malgré tout, Under The Silver Lake est vraiment magnifique. Bon nombre de plans et de dialogues, vont persister durablement dans ma mémoire. Mais pourtant, en définitive, je ne crois pas avoir compris grand chose. Mis à part qu'il apporte plus de question que de réponse. Que voila donc une œuvre aussi étrange et fascinante, que peu ordinaire et déroutante. Un film difficile à digérer, qui n'a pas fini d'alimenter les débats, au sein des cercles de cinéphile amateur de curiosité. Que ce soit à propos de ses cotés occulte, de ses intensions cryptique et complotiste, ou de son catalogue de clin d’œil ultra-référencé. à propos de certain de ses illustres ainés hollywoodien, comme à propos d'une culture plus pop et contemporaine. Moi aussi, je pense que ce film est appelé à générer un petit culte élitiste autour de lui. Et bien que je ne vois pas trop le rapport direct, allez savoir pourquoi, mais Under The Silver Lake me donne une furieuse envie de revoir Vertigo... La superbe musique originale, peut-être...
CreedTime
Les adjectifs classiques de la frustration. Et revoyez donc la définition de la misogynie, cela vous évitera le ridicule en plus...
Soigneux G.
L’anti Ready Player One que j’ai beaucoup apprécié au passage mais tout aussi bon dans une autre catégorie !!!
P U N I S H E R
Je pense que ce film c’est tout ou rien !Ou on accroche ou on accroche pas.Malheureusement pour toi ça n’a pas fait mouche mais personnellement je trouve que ce film est un chef-d’œuvre l’un des derniers films qui se rapproche le plus du grand maître Hitchcock mais ça m’a aussi un peu fait penser à du Lynch,je trouve le mélange des deux plutôt intéressant avec un final vraiment réussi.