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    Mélodie en sous-sol
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    135 critiques spectateurs

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    stebbins
    stebbins

    458 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 janvier 2009
    Un très bon film, maîtrisé de part en part. Henri Verneuil a eu l'intelligence de réunir deux des plus grands monstres du cinéma français : d'un côté l'immense Jean Gabin, acteur d'expérience à la corpulence imposant le respect ; de l'autre Alain Delon, jeune premier au regard magnétique et quelque peu farouche... Mélodie en Sous-sol fait partie de ces films que le temps ne détruit pas, malgré son scénario daté et son esthétique se rapprochant plus du cinéma classique que de la Nouvelle Vague ( nous sommes en 1963 et Godard, Truffaut, Resnais et les autres sont déjà passés par là...). Si le film de Verneuil vieillit si bien, c'est parce qu'il est plein d'audaces : le cinéaste n'a pas peur de jouer sur la pénombre ou de réaliser de longues séquences non dialoguées... A ce propos, nous pouvons saluer le travail du sympathique Michel Audiard qui nous livre ici des répliques truculentes non dénuées d'humour. Bref, un polar brillant et palpitant qui n'a pas volé son statut de film culte. Un classique à voir impérativement.
    Stephenballade
    Stephenballade

    353 abonnés 1 235 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 mars 2015
    L’année 1963 vit naître un grand film français, époque où le cinéma tricolore savait encore faire de très bons films très régulièrement avant qu’il ne décline jusqu’à son relatif redressement actuel. "Mélodie en sous-sol" a beau avoir un demi-siècle, force est de reconnaître qu’il n’a absolument pas vieilli. Certes ce film est en noir et blanc, mais cela aide le spectateur à mieux s’immerger dans l’ambiance fleurant bon les années soixante. Henri Verneuil signe ici une mise en scène parfaite, bien aidé par l’énorme charisme de Jean Gabin dans son rôle de prédilection de vieux briscard au caractère bien trempé, l’inspiration géniale d’Alain Delon et cette multitude de seconds rôles sans qui ce film ne serait pas ce qu’il est, comme Maurice Biraud, Jean Carmet, Viviane Romance, ou encore Henri Virlojeux pour ne citer qu’eux. Bien qu’Alain Delon osa le pari de ne pas prendre de cachet car la MGM (qui participa à la production) se contentait de Jean Gabin comme seule tête d’affiche, il bénéficie de ma mention spéciale tant il est parfait en ce voyou sans scrupules, ce chien fou quasiment incontrôlable mais qui sait ce qu’il veut. Ayant négocié sa participation au film contre les droits perçus dans certains pays étrangers, le succès rencontré par le film autour du globe suffit à combler avantageusement ce pari. Le fait est que son comportement est très bien mis en valeur par la superbe partition orchestrale de Michel Magne, cette musique entêtante qui porte merveilleusement tout le film que je me régale à visionner avec le son à fond. Parfois espacés par de longues scènes sans paroles, on ne présente plus les dialogues génialissimes de Michel Audiard, toujours aussi plaisants, bien que bizarrement soft : quasiment pas de grande joute verbale et peu de bons mots. Cependant, quelques répliques sont encore ici devenues cultes. Le tout conjugué donne un résultat exceptionnel pour un film de casse à la française. Car le film est du même tonneau que la préparation du cambriolage : préparation chirurgicale, mécanique simple, bien rôdée et huilée. "Mélodie en sous-sol" reste encore aujourd’hui une référence dans le genre, et le restera à jamais, d’autant plus que le suspense est formidablement entretenu par Henri Verneuil pour un final qui n’a pas fini de surprendre pour ceux et celles qui ne connaissent pas encore ce long métrage incontournable. Le plus fort, c’est que le spectateur se prend de sympathie pour les braqueurs. Mon avis est donc le suivant : du très grand Henri Verneuil (réalisation), de très grands Jean Gabin et Alain Delon, un très grand Michel Audiard (dialoguiste), un très grand Albert Simonin (scénario), un très grand Michel Magne (compositeur), et un très grand Louis Page (photographie), pour un chef d’œuvre du genre.
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 893 abonnés 12 151 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 juin 2009
    L'archètype des films de braquage à la française et la toute première rencontre au sommet entre deux monstres sacrès du cinèma français: Jean Gabin, en gangster d'expèrience dèsireux de prendre sa retraite, et Alain Delon, jeune voyou prêt à tout pour gagner de l'argent sans travailler! Comme le dit Audiard "Le boulot, c'est un truc qu'y vaut mieux commencer jeune. Quand tu dèmarres tout môme, c'est comme si t'ètais nè infirme: tu prends le pli et t'y penses plus.". Classique absolu du polar à la française, avec un scènario en bêton armè d'Albert Simonin, des dialogues percutants signès Michel Audiard, de solides seconds rôles (Maurice Biraud, Viviane Romance, Henri Virlojeux...) et une mise en scène au cordeau d'Henri Verneuil! De Sarcelles au soleil de Cannes, en passant par le dècor principal du superbe casino du Palm Beach, le film comporte de grands moments avec son lot de rebondissements, dont la sèquence finale, mythique et vèritable point d'orgue du film! il faut aussi noter le soin apportè au braquage, magnifiquement prèparè par Gabin et exècutè de main de maître par Delon, le tout filmè en temps rèel et quasiment sans parole, dans un noir et blanc souvent splendide! Un joyau de densitè dramatique avec une inoubliable interprètation, magnifiè par une camèra virtuose et par une musique magnifique de Michel Magne! Toute une èpoque...
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 004 abonnés 4 087 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 décembre 2022
    Les années 1950 avaient été pour Henri Verneuil, les années Fernandel au début desquelles ce dernier lui avait mis le pied à l’étrier en lui permettant de réaliser son premier long métrage avec « La table-aux-crevés » (1951). Les deux hommes tourneront à sept reprises ensemble. Les années 1960 seront celles de la consécration, le voyant poursuivre sa collaboration de cinq films avec Jean Gabin et tenter sa chance à Hollywood en réalisant avec Anthony Quinn en vedette, « La 25ème heure » (1967) et « La bataille de San Sebastian » (1969), deux films épiques à grand spectacle tout à fait honorables. Après les énormes réussites que furent dans deux registres différents, « Le Président » (1961) et « Un singe en hiver » (1962), Verneuil et son producteur Jacques Bar ont bien sûr très envie de travailler encore une fois avec Gabin qui trône à nouveau au sommet du cinéma français. L’idée d’un film d’aventures coloniales leur semble la voie menant au succès. C’était sans compter sur le caractère de plus en plus casanier de Gabin pour qui s’éloigner au-delà de 200 kilomètres de sa ferme située dans l’Orne était devenu impossible à envisager. Il aura fallu toute la diplomatie de Verneuil et la rouerie de Jacques Audiard pour finalement convaincre le patriarche de s’engager, le projet colonial étant vite tombé dans les oubliettes, dans une adaptation d’un roman de l’écrivain américain John Trinian qui relate par le menu le casse d’un casino orchestré par un vieux malfrat à peine sorti de prison aidé d’un jeune voyou impétueux. Albert Simonin se charge de la transposition du roman à l’écran pendant qu’Audiard, avec le talent qu’on lui connaît, se contente d’ajouter 25 répliques bien senties aux dialogues. La MGM estimant que le seul nom de Gabin suffira à la promotion du film envisage de confier le rôle du jeune truand à Jean-Louis Trintignant encore relativement peu connu. Mais Alain Delon qui est alors en pleine ascension, souhaite à l’image de Jean-Paul Belmondo travailler avec Jean Gabin pour asseoir définitivement sa crédibilité en France. En acceptant de travailler sans cachet en échange des droits du film au Japon, Delon emporte la décision de la MGM. Sa collaboration avec Gabin sera empreinte de respect mutuel sans quelle soit aussi chaleureuse que celle qui avait régné sur le plateau d’ « Un singe en hiver ». Il faut dire que l’humeur de grand acteur est assez contrariée quand il constate que Michael Audiard a imposé sans lui en avoir parlé, la présence de son ami Maurice Biraud dans le rôle du chauffeur. On tient peut-être ici, la raison de la brouille qui verra les deux hommes renoncer à leur très fructueuse collaboration pendant près de quatre ans. Quoiqu’il en soit, le film est excellent tant par la manière dont Verneuil filme la préparation puis l’exécution du casse. Les répliques d’Audiard, très chèrement payées, habillent parfaitement l’action, voyant Gabin et Delon à leur meilleur dans deux rôles taillés sur mesure. La fin du film changée à la demande expresse de Gabin qui la trouvait trop convenue est entrée dans la légende du cinéma français On appréciera enfin la séquence d’ouverture où le vieux truand venant de passer cinq ans en taule, ne reconnaît plus le Sarcelles qu’il avait quitté, peinant à retrouver son pavillon dans la topographie complétement bouleversée de ce qui était autrefois un village et devenu une cité HLM sans âme appelée à devenir un haut lieu des problèmes insolubles de ce que l’on a ensuite appelé « les banlieues ». Un film certes divertissant mais qui jette un regard lucide sur les méfaits à venir d’une urbanisation non maîtrisée.
    Sergio-Leone
    Sergio-Leone

    160 abonnés 1 096 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 décembre 2010
    Film de casse élégant et brillamment réalisé un peu comme le sera "le cercle rouge" de Melville. Verneuil réalise à merveille un film de truands sans utiliser les codes des polars habituels, donnant deux rôles magnifiques à Alain Delon et Jean Gabin. Le scénario reste dans la trame du film de gangster mais la mise en scène quasi orchestrale avec un final fabuleux propulse ce petit bijou au sommet des films noirs.
    AMCHI
    AMCHI

    5 007 abonnés 5 934 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 février 2011
    Du polar solide comme savait le faire le cinéma français a une certaine époque, un beau duo entre le jeune Delon et l'ancien Gabin. Tout ceci est bien mené et mise à part une ou deux longueurs inutiles la mise en scène de Verneuil s'avère toujours efficace et la dernière demi-heure relève un vrai suspense notamment la séquence de la piscine.
    traversay1
    traversay1

    3 076 abonnés 4 620 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 août 2016
    Une sorte d'Ocean's eleven à la française, avec un beau final qui rappelle celui de L'ultime razzia de Kubrick. Du cinéma solide, bien charpenté, rehaussé par la langue verte de Simonin et Audiard. La première rencontre de Gabin et Delon tient ses promesses. Reste que Verneuil n'est pas Melville et que le film ne s'élève pas au-dessus du seuil du bon divertissement. Ce qui n'est déjà pas si mal.
    sly-stallone88
    sly-stallone88

    156 abonnés 2 223 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 septembre 2011
    un duo qui fonctionne tant le talent de Delon et Gabin est grand, une fin inattendue vient conclure ce policier intéressant !!!!
    Caine78
    Caine78

    5 986 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mars 2009
    Qu'il est bon de retrouver parfois ces polars que le cinéma français dans les années 60. Et à n'en pas douter, ce "Mélodie en sous-sol" en est incontestablement un des plus beaux fleurons. Car au-delà de la somptueuse photographie et de dialogues signés Audiard dans l'ensemble savoureux, c'est la maitrise de Verneuil qui éclate avant tout, tant le récit s'avère maitrisé de bout en bout et le suspense haletant. Certains pourront alors toujours se plaindre d'un scénario des plus classiques, mais au fond, quelle importance lorsque celui-ci s'avère aussi bien mené et bien construit que celui-ci. Et hormis une "présentation des lieux" un peu longuette, ralentissant légèrement le rythme de l'ensemble, l'oeuvre n'en demeure pas moins de grande qualité, le final s'avérant quant à lui totalement inattendu et des plus convaicants. Une belle réussite.
    titusdu59
    titusdu59

    59 abonnés 696 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 juin 2011
    Un grand film de braquage à la francaise, avec les dialogues signés Audiard, et Jean Gabin et Alain Delon en têtes d'affiches, c'est déjà alléchant rien que sur le papier. Et ça l'est (presque) autant quand on l'a vu! Car c'est enjoué, enlevé, léger, amusant, divertissant, et plein de bonnes idées! Henri Verneuil pose une mise en scène typique de celles des années 60, et Dieu que c'est bon! Et puis bon, Nice en noir et blanc, Delon au soleil, les belles voitures d'époque, Gabin dans son rôle fétiche de vieux balourd désabusé... Et puis la fin, ouai, la fin quoi... c'est juste énorme. Bon on peut regretter cette première partie un poil longuette et pas folichonne, ainsi que ce scénario au final pas vraiment novateur, ni vraiment surprenant. Mais ne boudons pas le plaisir que nous offre allègrement cette "Melodie en sous-sol" qui en fin de compte a plutôt bien supporté le poids des années.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 29 décembre 2010
    Voir MELODIE EN SOUS-SOL aujourd'hui, près de 50 ans après son tournage, permet un jugement plus serein qu'à l'époque où la guerre faisait rage entre tenants de la Nouvelle vague et défenseurs de l'Audiardmania. Ne boudons pas notre plaisir devant un film policier (ce que ne sait plus faire le cinéma français d'aujourd'hui) qui s'appuyait sur un solide roman de John Trinian bien adapté par Albert Simonin. Plaisir encore devant le jeu virevoltant d'Alain Delon et des seconds rôles très bien tenus, Maurice Biraud et Jose-Luis de Vilallonga en tête ; la camera cinemascope s'autorise quelques beaux plans (en général sur Delon) et la musique (tonitruante) de Michel Magne crée l'ambiance. Partant de là, les insuffisances de la réalisation d'Henri Verneuil (personnage sympathique mais cinéaste limité) plombent le film : aucun parti n'est tiré du décor cannois, de l'ambiance du casino et du monde qui entoure les héros du film ; si le film reste agréable à suivre dans son déroulement, le spectateur reste indifférent, jamais tenu vraiment en haleine ; le jeu de Gabin (qui, en fait, ne jouait plus que Gabin à cette époque) est pauvre et stéréotypé ; quant au fameux dialogue d'Audiard, remettons les pendules à l'heure : quelques bons mots d'auteur perdus au milieu d'un océan de banalités, entendus dans maints films, sur la vie en prison, le gros coup, les femmes. Remarquons enfin que ce film, dont les ambitions étaient purement commerciales, est totalement déconnecté de la réalité de la France de 1962 (De Gaulle au pouvoir, fin de la guerre d'Algérie et arrivée massive de rapatriés, bouleversements dans le monde de la chanson et l'industrie du disque, explosion de la télévision sur l'ensemble du territoire, etc). Alors, MELODIE EN SOUS-SOL, ni grand film ni navet : une production commerciale sans véritable relief mais le plaisir d'un film policier comme on n'arrive même plus à en produire aujourd'hui (voir le catastrophique A BOUT PORTANT qui "triomphe" sur les écrans de cette fin d'année).
    Eselce
    Eselce

    1 196 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 janvier 2017
    Quelques dialogues savoureux d'Audiard. Une présence à l'écran modérée pour Jean Gabin qui partage pour la première fois l'affiche avec Alain Delon. Un rythme lent, beaucoup de description dans la façon dont le casse va se faire, c'est trop long aujourd'hui et on a le temps de se tourner les pouces malgré les dialogues placés d'Audiard... On attend 1h30 que ça démarre et on aimerait se passer des nombreuses banalités que nous inflige le film. Grandiose dernières minutes qui font de ce film un grand classique. Mais c'est un peu léger sur 2 heures de film !
    yayo
    yayo

    55 abonnés 1 221 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 avril 2011
    Excellent film, excellents acteurs, mais aussi très bonne histoire qui nous tient jusqu'au dénouement final culte.
    lilybelle91
    lilybelle91

    43 abonnés 914 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 mai 2012
    Un grand classique du film de casse, servi par un duo mythique : Gabin - Delon ! Mais une question à propos de la fin m'a toujours taraudé... spoiler: pourquoi les sacs bourrés de billets de banques s'ouvrent ils au fond de la piscine ?
    JamesDomb
    JamesDomb

    82 abonnés 1 061 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Henri Verneuil définissait ainsi son duo d'acteurs vedettes :"D'un côté, un pachyderme. Lent. Lourd. Les yeux enfoncés sous des paupières ridées et, dans l'attitude, la force tranquille que confère le poids. Celui du corps. De l'âge. De l'expérience. Quarante ans de carrière. Quelque soixante-dix films : Gabin. De l'autre, un félin. Un jeune fauve, toutes griffes rentrées, pas un rugissement mais des dents longues et, dans le regard bleu acier, la détermination de ceux qui seront un jour au sommet : Delon". C'est en effet ainsi que le spectateur pourrait définir les personnages incarnés par Gabin et Delon. Le vétéran qui souhaite faire un dernier coup avant de se retirer accompagné du jeune aux dents longues. Henri Verneuil retrouve Jean Gabin après le succès d'Un Singe en Hiver et lui offre une fois de plus un role qui lui cole désormais à la peau, celui du Cerveau un peu fatigué qui veut passer le relais. Evidemment Gabin étonne toujours autant par son naturel et sa force de caractère. Alain Delon, 27 ans s'impose aisèment face au Monstre du Cinéma français par son grand charisme et par son caractère lui aussi. Une solide amitié uniera les deux acteurs et leur complicité explose dans ce magnifique film d'Henri Verneuil. Mélodie en sous-sol est un mélange homogène de "film-noir" mais aussi du renouveau du cinéma français des années 60. Michel Audiard signe de savoureux dialogues. Michel Magne dans une de ses phases d'expérimentation signe une belle partition qui fait maintenant beaucoup penser à celle de Fantomas (meme époque). Film de genre de réference, film culte.
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